Un poème inspiré par l’affaire Valérie Bacot. Puisse-t-elle enfin trouver la paix.
Il y a de la haine, du plaisir à faire souffrir,
À torturer, à avilir,
À traîner plus bas que terre
Tout ce qui l’entoure.
Point de salut possible
Face à un tel nuisible.
Seule la fuite, comme le coup de talon
Donné par le rescapé de la noyade,
Peut sauver d’une telle destruction.
Il jouit de sa haine tel Satan aux Enfers
En retire ce qui est le moteur de sa vie.
Ce dont il se délecte, ce qui le valorise
Changer est impossible pour un tel pervers
Torturer est sa substantifique moelle
Celle qui allume dans ses yeux des éclairs.
Prédateur sanguinaire que personne n’arrête
Son règne est sans pitié, maléfique petit maître.
Sa surpuissance cependant est son talon d’Achille,
Car perdant toute mesure, un beau jour il vacille.
De son socle il trébuche et soudain s’arrête
Éclaté en plein vol d’une balle dans la tête.
À vouloir tout détruire, se sentant invulnérable
Il est enfin stoppé, ce bourreau misérable.
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