Partager la publication "Baisée en collants"
Les collant respectable. Les bas résille ça fait pute. Voilà un préjugé que j’adore contredire. Même si je n’ai rien contre le fait de faire la pute en lingerie sexy, je sais que parfois il suffit juste d’être la fille normale habillée sans chichis pour devenir finalement très excitante a consommer. Alors pour un premier rendez-vous je peux choisir une paire de collants noirs à gros pois sur une robe d’été pas trop courte. Souliers vernis à petits talons.
Sainte-Affrique, bourgade paisible et provinciale. Un homme simple et sans signe particulier dont je risque de me souvenir. Probable que si je le recroiser dans six moi je ne le reconnaîtrai pas. Il ne sais pas encore que je vais me donner à lui ce soir puisque j’ai choisi un site de rencontre assez neutre plutôt branché recherche de l’amour sincère. C’est aussi une prise de risque pour moi car il peut jouer les gentleman jusqu’au bout. Mais je croise les doigts (et mes jambes en collants) pour que ce ne soit pas le cas. En m’y prenant habilement ça ne devrait pas être trop difficile de l’attirer dans mon AirBnB juste après le restaurant. Pour un dernier verre, et plus si affinités..
Le repas est encourageant. Mon rendez vous à des difficultés à ne pas attarder ses regards sur ma grosse poitrine gonflant ma robe d’été. Mais il s’efforce de regarder les yeux autant que le reste quand nous parlons. La conversation ne s’enlise pas et nous réussissons assez bien à éviter les longs silences gênants. Je joue le rôle que je me suis préparé. Celui d’une jeune femme fraîchement divorcée et déçue par les hommes mais n’ayant pas perdu tout espoir. Pour l’apéritif je commande un spritz puis un deuxième et pendant le repas je le laisse remplir mon verre de vin plusieurs fois. Je remarque qu’il boit bien moins que moi. C’est bon signe, je suis presque certaine qu’il essaie de m’alcooliser pour mieux me faire céder plus tard à ses avances. Il ne sait pas que c’est gagné d’avance et qu’il va évidement pouvoir baiser la jeune fille en collants. C’est parfait ainsi. Tout ce que j’aime et qui m’excite… Je ri à ses blagues, baisse les yeux gênée quand les questions se font un peu intimes ou qu’une allusion est un peu trop grivoise au goût de mon personnage. Mais je laisse me faire maladroitement du pied sous la table. J’hésite à déchausser mes talons pour caresser son mollet du bout de mes orteils couvert du fin nylon de mes collants. Mais je n’ai pas trop envie de lui envoyer des signaux trop évidents. Je veux qu’il subsiste un doute sur l’issue de notre rendez vous jusqu’au dernier moment.
J’accepte de dire qu’il me plaît. Que quelque chose serait possible. Mais j’ajoute aussitôt que je ne suis pas de celles qui couchent le premier soir. Sa déception est presque palpable même s’il essaie de n’en laisser rien paraître. Au troisième verre de blanc (j’ai choisi le Sandre) je lâche que je devrais ralentir sur la boisson car sinon j’ai peur de ne pas être aussi sage que je devrais. Mais je le laisse commander une seconde bouteille. Après le dessert et quelques verres encore plus le digestif offert par le patron je n’ai pas besoin de faire semblant d’être pompette. Je pose ma main sur la sienne et lui demande, candide : « Je crois que j’ai un peu trop bu. Il va falloir que tu m’aides à rentrer chez moi. Mais te fais pas d’idées, on va pas coucher ! »
Marcher dans la rue en collants et robe légère
Gentleman, il paie, je lui fais un petit bisou sur le coin de la lèvre pour le remercier et nous quittons le restaurant bras dessus, bras dessous mais je remonte sa main quand il essaie de la poser sur mes fesses. Pourtant le contact sur mon petit cul à travers le fin tissu de ma robe et le nylon de mes collants m’électrise. Mais il faut savoir se refuser, laisser monter le désir et la frustration. Peut être remarque-t-il que j’ai les seins qui pointent. Ça va être difficile de ne pas me jeter sur lui une fois chez moi. Mais je suis bien décidée à jouer les prudes le plus longtemps possible et de miser sur le fait que plus il sera frustré mieux il me démontera l’arrière train quand je lui céderai.
Par deux fois sa main redescend vers mes fesses, par deux fois je la replace sur ma hanche. En plus il a une grosse montre à bracelet en métal et j’ai peur qu’elle s’accroche et file mes collants s’il lui vient l’idée de passer sous ma robe légère. Aucune envie que le spectacle de mon beau petit cul dans les collants à poids soit gâche tout à l’heure par un fil de nylon mal tiré. Je peux être assez maniaque du détail en matière de plan cul !
-« Bon, bin voilà, on est à mon immeuble. Merci… »
-« Heu…de rien… »
Je me délecte de sa mine déconfite quelques longues seconde.
-« Écoute, le prends pas mal mais je couche jamais le premier soir…Bon, si tu promets d’être sage je veux bien te payer un dernier verre… »
Bien sûr il promets. Alors je lui refais un petit bisou, sur la bouche cette fois. Avec juste le bout de ma langue brièvement sortie. Nous entrons et je passes devant dans l’escalier pour lui laisser mater mes jambes et essayer de deviner si je porte des bas ou des collants.
Arrivés à ma porte je cherche les clefs dans mon petit sac à main. Je tourne la clef dans la serrure et je fais semblant d’avoir du mal à ouvrir la porte. C’est une technique pour qu’il se rapproche de moi et m’aide à pousser. Quand il est contre moi son odeur m’excite, je ne peux pas m’empêche de poser mes lèvres sur son cou.
-« Heu, ça va être dur d’être sage si tu continues à l’embrasses sans prévenir. Tu serais pas un peu allumeuse ? »
-« Oh, pardon. J’ai dis que je ne couchais pas le premier soir. Mais j’ai pas menti, tu me plaît. Les bisous c’est pas pareil. Et puis rappelle toi, tu as promis…même si je sais que les promesses ne concernent que ceux qui les entendent… »
La porte cède et nous entrons.
Le studio est petit avec un canapé sur lequel je lui propose de s’installer et une malle rectangulaire en vieux bois clouté qui sert de table basse et de meuble de rangement pour une collection de whisky et de vieux rhum. La malle aux trésors est une idée du proprio du Airbnb. On peut consommer mais il faut réapprovisionner.
Je lui demande s’il est amateur de Rhum ou s’il préfère un doigt de whisky. Je suis certaine que l’allusion au juste un doigt de la citée de la peur ne lui a pas échappé. Mais il s’abstient de toute blague graveleuse.
Je lui tourne le dos et me baisse pour prendre la bouteille dans la malle en bois cloutée. Je prends soin de garder les jambes tendues et de me baisser légèrement cambrée. Je sais qu’il a une vue parfaite sur mon joli cul moulé dans mes collants et ma robe. Mais il a finalement décidé de ne pas se contenter uniquement de la vue à en croire les mains que je sens sur mes hanches. Je fais mine d’être surprise mais je reste penchée et ne me dégage pas.
-« Hummm, nooon, tu avais promis. S’il te plaît… »
Ma bouche dit non mais clairement pas mon corps.
-« Dis donc, tu ne serais pas une petite allumeuse par hasard ? »
-« Non…s’il te plaît, sois gentil…mes collants… »
-« Mais je suis gentil ! C’est plutôt toi qui est vilaine !»
Ses mains enserrent assez fermement ma taille fine et il appuis avec les pouces juste dans le creu de mes reins pour m’indiquer qu’il souhaite que je reste penchée en avant sur la malle de bois. Je me cambre légèrement, je résiste un peu mais sans me relever. Mon cœur ainsi que ma respiration s’accélèrent. Je le laisse relever ma Jupe tout en protestant un non timide qui veut dire oui tellement il est gémissant.
Tu peux imaginer mon joli cul de salope allumeuse, mes collants à pois et ma jupe relevée. Sous les collants je n’ai pas de culotte, juste mon petit abricot ferme et juteux. Qu’aurais tu fait à sa place ? Lui il mets une main sur ma nuque pour me tenir ainsi penchée et il fait un truc qui me rend folle rien que d’y repenser. Il tapote mon abricot du bout des doigts, lentement, doucement. Je m’attendais à des caresses, ou une bonne fessée bien méritée. Mais il se contente de tapoter doucement et régulièrement mon con à travers le nylon de mes collants. Imagine toi à sa place, la paume de ta main sur mon cul et deux doigts qui battent une mesure très lente sur mon cameltoe gonflé à travers le nylon de mes collants. A charge battement tes doigts se posent et pressent délicatement. A chaque battement je me cambre pour essayer de venir à la rencontre de tes doigts que j’aimerais fureteurs alors qu’ils sont juste posés là pour me rendre folle. Un petit gémissement m’échappe à chaque fois. Tu fais durer, j’ai très chaud et la mouille doit commencer à transpirer à travers le nylon de mes collants. A ce stade ça me serait bien égal que tu les déchires pour aller plus loin. Mais tu continues, imperturbable à battre la mesure. Quand enfin j’entends le cliquetis caractéristique d’une boucle de ceinture qui se défait je gémis un : « oh oui…hummmm » pensant que tu vas enfin déchirer mes collants et me prendre en levrette. Mais à la place tu remplaces juste tes doigts par ta queue qui vient au même rythme tapoter mes collants mouillés.
-« Bin alors, tu dis plus non ? T’as plutôt l’air d’en avoir envie maintenant. »
-« Hummmm, oui, c’est bon, fais moi ce que tu veux. Tempi pour mes collants… »
Mais, tout en contrôle, tu continues à marteler doucement mon con avec ta bite bien dure.
Je n’en peux plus, tempi pour mes collants, je mets mes mains sur mes fesses et c’est moi qui déchire mes collants j’ai trop envie de me faire prendre en levrette.
Je pousse un long gémissement quand ta queue glisse dans ma Chatte tout lisse et épilée. La suite dure longtemps, tes va-et-vient amples et profonds me font haleter et couiner comme une chienne en chaleur. J’ai déjà jouis trois fois quand tu décides de changer de trou. D’abord avec ton pouce pour préparer mon anus puis très lentement ta grande queue bien sûre qui me fait pousser des petits couinement à chaque centimètres d’enculage supplémentaire. Je suis épuisée mais heureuse quand tu enlèves ton préservatif pour éjaculer sur le bas de mon dos.
Je suis une salope comblée, dis moi dans quelle ville tu aimerais que l’on se retrouve prochainement.
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