Histoire coquine :

Il y a environ cinq ans, nous avons vcu quelques changements au boulot dans nos changes avec nos fournisseurs. Mes souvenirs se mlangent un peu et j'ai bien sr d recomposer les trous de mmoire.

Ma suprieure hirarchique me demanda cette priode de participer une runion avec l'un de nos fournisseurs. C'tait une de mes collgues qui tait cense grer le contrat et les relations, mais elle ne s'entendait pas avec la responsable du service commercial de ce mme fournisseur.


Je ne voyais pas d'inconvnient la remplacer. Si ce n'est que je ne voulais pas vivre ce qu'elle avait vcu. Parce qu'apparemment, la responsable commerciale tait trs ttue. Toujours imposer ses vues, mme si a ne fonctionnait pas et que a tapait sur le systme de tout le monde, il fallait faire son ide elle. J'imaginais l'ambiance...


Bref, le jour de la runion arriva. Je suis entr dans la salle et me suis install ct de ma chef, la responsable commerciale du fournisseur et sa collgue se sont installes en face. Heureusement pour moi, la runion avait bien commenc.

Mme s'il y avait quelques dsaccords, le fait que je sois un inconnu pour mes interlocutrices a d dtendre l'atmosphre. Les deux femmes en face de moi avaient une dizaine d'annes de plus que moi, mais je leur trouvais du charme. De l dire qu'il se passerait quelque chose...


Au bout de quelques minutes, on frappa la porte. Notre secrtaire annona et fit entrer une retardataire. C'tait une trs jolie fille de 22 ans, de taille moyenne, en pantalon noir. Sa peau d'bne contrastait avec son chemisier rose lgrement moulant, suffisamment pour dessiner la forme galbe de sa poitrine proportionnellement dodue son corps lanc. Son visage gracieux tait illumin par ses yeux en amandes, des pommettes rondes rehaussaient son air jovial. Ses cheveux taient dtachs et couvraient ses paules.
Elle entra, confuse, et s'excusa de son retard. La responsable commerciale lui indiqua o s'assoir. Elle se retrouva en biais par rapport moi, l'autre bout de la table.

La discussion se poursuivit. J'eus l'occasion de poser plusieurs questions pour claircir certains points. Je n'avais pas encore trop fait attention la petite retardataire jusqu'ici. Mais je me suis senti observ. Et c'est parce que je me suis senti observ que de temps en temps, je jetais un petit coup d'il vers elle. Nos regards se sont croiss deux ou trois fois. A chaque fois, elle a baiss les yeux en librant un petit sourire de satisfaction. Comme si elle tait contente que je la remarque.

A partir de l, je l'ai regarde plusieurs fois du coin de l'il. Elle crivait d'une main, et, de l'autre, elle tortillait ses cheveux entre ses doigts. De temps en temps, elle jetait un petit regard furtif vers moi. Par moments, elle semblait vouloir couvrir son dcollet (toujours d'une main) en cherchant fermer le dernier bouton du chemisier. Mais machinalement, sa main relchait le tissu et caressait son cou.

Elle semblait un peu agite, rejetant de temps autre ses cheveux en arrire, se touchant de l'index l'oreille, la joue, le nez, se caressant nouveau le cou et recommenant jouer avec son bouton de chemisier avant de rejeter un coup d'il vers moi, me sourire et recommencer comme a son inconscient mange.


Sur le moment, elle m'intriguait. Inconsciemment, mon corps avait compris la danse de sduction qui se droulait devant moi, mais consciemment, j'tais un peu perdu. Et pour cause : mon sexe se dveloppait dans mon pantalon chaque regard de cette fille et je devais me concentrer sur la runion...

Les dbats touchrent leur fin et nous pouvions enfin nous mettre d'accord sur une organisation mettre en place. C'est ce moment que j'ai dcouvert que mon admiratrice s'appelait Fatou et qu'elle tait la nouvelle assistante. Nos responsables respectives se mirent d'accord pour que Fatou et moi soyons en contact pour les futurs changes entre nos deux socits. Elle tait visiblement contente que cela s'organise comme a (moi aussi d'ailleurs).

Nous avons chang ce moment nos coordonnes professionnelles et j'esprais qu'il en serait bientt de mme pour les personnelles.

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Dans les jours qui ont suivi, je repensais souvent au regard de Fatou. Son regard mi-farouche mi-entreprenant. Je revoyais ses magnifiques yeux en amandes qui cherchaient mon regard pour tablir une connexion et me faire comprendre que je lui plaisais. Je repensais aussi ses formes harmonieuses, ses seins bombs et dlicats soulignant son corps cintr et ses fesses cambres. A chaque fois que je repassais dans ma tte l'image de son corps et de son regard, j'avais une trique incontrlable.

Pendant peu prs un mois, nous nous sommes crit et appels rgulirement pour remettre plat l'organisation. Forcment, le moment o nous avions moins besoin de nous contacter arriva, puisque tout roulait tout seul. J'ai fini par prtexter le besoin de tout rebalayer pour que l'on se fasse une runion deux en physique. J'ai cru sentir son sourire au tlphone lorsque nous nous sommes mis d'accord sur la date de notre rencontre.


Le jour dit, je suis arriv le matin, un peu tendu, le cur battant la chamade. Je m'tais fait pas mal de films sur nos retrouvailles et j'avais un peu peur que a ne se passe pas bien. Pourtant, il n'y avait pas de raison.
Fatou vint m'accueillir l'entre. Son visage tait rayonnant, souriant. Elle avait vraiment l'air contente de me voir, ses yeux amandes me fixaient avec chaleur. J'tais comme touch par son regard de braise.


Machinalement, je me suis approch d'elle pour lui faire la bise. Elle est reste fige pendant que mes joues se collaient aux siennes. Elle ne savait visiblement pas comment ragir. Je l'avais prise de court sans m'en rendre compte et elle me laissa faire. Elle devait srement tre contente, mais n'osait pas le montrer.


Nos changes au cours de la matine ont t ponctus de travail bien sr, mais aussi d'changes de regards et de sourires. Je n'osais pas sortir du contexte de travail, j'avais un peu peur que ses collgues entrent inopportunment dans son bureau et nous surprennent.

Je lui ai donc propos que nous djeunions ensemble. Elle m'a regard en souriant, mais semblait nouveau fige, comme si elle n'osait pas dire oui, mais n'allait certainement pas dire non. Alors j'insistais en changeant de stratgie.


- Tu djeunes o d'habitude ? Tu as un resto me faire dcouvrir ?
- Oui je mange parfois au caf de la gare, le menu est simple et pas cher. Je te montrerais.


Gagn. Fatou m'a escort jusqu' sa cantine habituelle. Tout en cheminant, nous avons papot. Une conversation simple, mais qui a permis de commencer nous connatre. Au cours du djeuner, nous avons dcouvert nos gots.

Quand nous avons parl cinma, elle m'a racont qu'elle voulait aller voir la 5e vague, un film de science-fiction qui, disait-elle, serait effrayant. Mais ses copines ne voulaient pas aller le voir. J'ai donc saisi l'occasion. Je lui ai dit que nous irions ensemble. Et comme avant, elle est reste fige, n'osant dire oui. Mais je sentais son regard qu'elle voulait vraiment dire oui.


J'ai renouvel alors mon stratagme.

- Tu vas o au cinma d'habitude ? Tu me montreras ?
- Oui... J'ai vu qu'il y a des sances samedi. Mes copines me lchent ce week-end, donc c'est OK pour moi... Euh, sauf si ta copine n'est pas d'accord, je comprendrais.

J'allais lui rpondre du tac au tac que j'tais clibataire, mais sachant qu'elle me testait et qu'elle-mme n'avait pas l'air sre de ses gestes et mots, je pris un petit plaisir laisser un silence s'installer quelques secondes.

Elle me fixait droit dans les yeux. Dans son regard, j'ai peru son inquitude. La crainte que je sois en couple. Ne voulant pas trop prolonger le suspens, je finis par lui dire de ne pas s'inquiter pour ma copine, que je n'en avais pas. Elle me rpondit par un simple "OK", dans un sourire qui exprimait un relatif soulagement qu'elle ne put dissimuler.

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Le samedi suivant, nous nous sommes retrouvs dans un cinma prs de chez elle. Fatou portait un jean trou aux genoux et un top naturel laissant les paules dnudes. Je lui ai offert la place et elle a insist pour m'offrir le pop-corn. La sance s'est trs bien passe. Le film tait moyen, sans plus. Plusieurs fois au cours du film, elle m'a agripp le bras.

Certaines scnes lui ont fait peur et aprs deux ou trois fois, je l'ai prise dans mes bras jusqu' la fin du film.

Je l'ai raccompagne jusque chez elle et nous avons march main dans la main. J'esprais que la soire ne s'arrte pas l. Mais vu ses ractions un peu gnes et figes chaque fois, je ne voulais pas tre trop entreprenant pour ne pas rompre le charme.

Devant chez elle, elle m'annona que "voil, on est chez moi". Puis elle me dit qu'elle avait pass un bon moment et s'il y avait une suite au film, on devrait y aller ensemble. Tout en acquiesant, je lui fis la bise. A nouveau, elle resta fige, mais sourit.


Je me suis dit qu'il fallait profiter de l'instant, je l'ai fixe dans les yeux, l'ai prise dans mes bras et dpos mes lvres sur les siennes. Voyant qu'elle se laissait faire et me rendait ce baiser, je laissais mes mains descendre sur ses fesses rebondies. Elle revint alors la ralit, s'loigna de moi et me dit " bientt". Elle ouvrit la porte, entra reculons en souriant btement (je pense que moi aussi j'avais un sourire niais ce moment) et referma la porte sur sa tte, la porte tapant sur sa tempe.


Je m'approchais d'elle, inquiet. Elle se frottait la tte et j'embrassais son front pour la consoler. Fatou pestait contre la porte, puis contre elle-mme, se reprochant de n'avoir pas fait attention.


Je suis entr et j'ai referm la porte derrire moi. Je repris mes embrassades pour la rconforter. Elle se laissait faire. Et tout en me remerciant, saisit ma main pour m'entraner vers sa chambre.


Nous nous sommes assis sur son lit aprs qu'elle ait ferm la porte. Elle m'expliqua qu'elle avait une coloc qui devait rentrer dans peu de temps et ne voulait qu'elle nous voie. Elle me la dcrivit comme une blonde aguicheuse qui aime collectionner les hommes. Elle qualifiait Fatou de sainte-nitouche. Je souris alors ma jolie compagne pour la rassurer, et lui dit que sa coloc ne ferait pas obstacle entre nous.


Je l'ai reprise dans mes bras pour l'embrasser. Fatou tenta mollement de protester. Soi-disant, si sa coloc rentrait, elle entendrait tout.

- Embrasse-moi Fatou, nous serons silencieux, si tu protestes tout le temps, elle finira par t'entendre.


Elle se mit rire. C'tait une sorte de rire de soulagement. Puis, nos embrassades se sont poursuivies. Avec mes lvres, je caressais les siennes, embrassais ses joues, son cou, ses paules... J'ai commenc me faire plus pressant. Mes mains caressaient ses cuisses, avant de remonter vers ses fesses.


Sa respiration devint plus sonore et rapide. Elle inspira fortement. Mes doigts se faufilrent sous son top et j'atteignis sa poitrine, la fois douce et ferme, sans rsistance.
A son tour, elle m'embrassait les lvres et les joues. Elle tait dj plus sre d'elle. Je tentais alors de remonter son top. Elle restait fige, assise en tailleur face moi, me fixant, sans oser faire quoi que ce soit. Fatou me dit alors "et si ma coloc arrive ?"

Je souris et pour toute rponse, soulevais son top par-dessus la tte. Une fois son top terre, je dposais plusieurs baisers l'un aprs l'autre autour de son soutien-gorge qu'elle m'aida enlever. Je l'embrassais nouveau tout en m'attaquant sa poitrine saillante et aux ttons raffermis par l'excitation. Je suais avidement chaque mamelon coinc entre mes lvres, l'un puis l'autre, aspirant ses ttons tout en ptrissant activement ses fesses.

Au cours de ces caresses et embrassades, son jean tomba son tour. Elle respirait toujours fortement. J'enlevais ma chemise avant de laisser mes mains se balader entre ses cuisses et caresser l'entre de mon objectif dj humide.

Fatou cartait ses cuisses pour faciliter mes caresses. Du bout des doigts, je la touchais dlicatement, de peur qu'elle ne change d'avis. Mais ce stade, c'tait peu probable. Je poussais alors mon avantage.


Mes doigts vinrent se glisser entre sa peau d'bne et sa petite culotte trempe. Je sentais sur mon index et mon majeur la chaleur moite. Ses cuisses taient toujours cartes. Alors que mes doigts allaient s'introduire entre les lvres de son vagin, Fatou tourna la tte vivement vers la porte, inquite que sa coloc n'arrive et ne nous surprenne.

"Il n'y a personne Fatou". Lui dis-je, rassurant. La situation m'excitait normment. Je ne pouvais pas m'arrter en si bon chemin. Je l'embrassais pleine bouche pour loigner ses fausses craintes et jetais mon pantalon terre. Mes doigts retournaient dans la culotte de Fatou et s'enfoncrent dans cette caverne chaude et humide, cartant dlicatement les douces chairs prtes accueillir mon membre.
Fatou me fixait dans les yeux avec une espce d'inquitude.


- a va Fatou ? Qu'est-ce qu'il y a ? Tu n'as jamais fait l'amour ?
- Euh si, si... Mais c'est juste que a fait longtemps.
- T'inquite pas ma chrie.

A peine avais-je fini de parler que je lui retirais sa culotte et repris mes caresses. Mes doigts malaxaient son mont de Vnus et son clito. Sa dernire rsistance tait tombe. Elle me laissait faire.


Restant allonge sur son lit, les cuisses demies cartes, elle profitait de mes soins et commenait onduler du bassin. Je me sentais trop l'troit dans mon caleon et le retirais pour tre plus l'aise.

Je l'aurais bien baise tout de suite comme une bte que j'tais deux doigts de devenir, mais j'avais peur que ses craintes ne refassent surface.

Alors j'approchais ma tte entre ses jambes. Fermement et autoritairement, je posais mes mains l'intrieur de ses cuisses pour les carter un peu plus. Elle se laissait faire et mes lvres se collrent enfin sa chatte imbibe de mouille. Ma langue se fraya un chemin l'intrieur, s'engouffrant entre les parois serres de son vagin qui n'avait pas t visit depuis longtemps. Aprs quelques minutes de cette thrapie, elle se mit gmir et je compris que cette fois, il n'y aurait pas de retour en arrire. Elle tait tellement excite, chaude et ouverte qu'elle ne me ferait plus de fausse ni thtrale protestation.


Je me plaais au-dessus d'elle, embrassant ses beaux seins galbs l'un aprs l'autre et rintroduisant mon index et mon majeur en elle pour vrifier une dernire fois qu'elle tait prte. Fatou soupira de soulagement. Signe que je lui faisais du bien. Cette fois, plus d'hsitation. J'attrapais vigoureusement ses jambes et remontais ses cuisses en les cartant et les collant contre son ventre. Sa chatte semblait s'ouvrir toute seule comme une fleur : ses deux grandes lvres lustres par son jus d'amour paraissaient s'carter lgrement.


J'approchais mon sexe tendu et collais mon gland l'entre de sa caverne d'amour, attendant encore un instant pour la faire languir. Fatou inspira fortement, se mordit la lvre infrieure, elle attendait mon entre avec un certain empressement.


Toujours au-dessus d'elle au bord du lit, je m'introduisis enfin dans sa fente d'amour. Elle se pina les lvres, me fit comprendre qu'elle s'offrait moi en librant un soupir qui accompagnait l'entre de ma queue en elle. C'tait comme un soupir de soulagement du style : "enfin sa bite en moi".
J'tais entr d'une faon tonnement facile, elle tait tellement lubrifie, que je filais en elle, aspir l'intrieur et butant au fond.

Je la voyais savourer l'instant. Oui, pour sr, elle tait soulage ! Son visage tait radieux, ses yeux en amandes ferms et sa bouche souriante, elle mordillait sa lvre infrieure. Je devinais qu'elle se dlectait.


Mes deux bras taient en appui sur mes coudes autour d'elle. Je me mis la pistonner avec ferveur. J'avais tellement fantasm sur elle que je m'tais astiqu fond avant le rendez-vous. Je me flicitais intrieurement de l'avoir fait. Mme si je ne m'attendais pas faire l'amour aujourd'hui, cette branlette me permettait ce moment de tenir.

Fatou si belle, si excitante. Ses beaux seins bien ronds, bien fermes, ses fesses rebondies... Et cette chatte bien troite... Combien de temps allais-je tenir ? Heureusement, elle mouillait tellement que ma bite coulissait toute seule, et la tension montait moins vite que je ne l'aurais pens.


Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait l'amour et prenait plaisir ce que je la pine. Je sortais et rentrais ma queue avec entrain, je voulais jouir d'elle, tout en allant le plus profond possible, poussant ma bite avec dtermination. Fatou m'aidait en tenant elle-mme ses jambes qu'elle agrippait sous ses genoux, en maintenant ses cuisses de chaque ct de son ventre. L'accs m'tait ouvert. Par ses gestes, elle me faisait comprendre qu'elle aimait a, qu'elle voulait que je continue.

Elle gmissait, haletait, mais en essayant de fermer la bouche, comme si elle avait peur d'tre entendue.


Moi-mme j'ai cru entendre un bruit derrire moi : un bruit de porte. Mais je me persuadais intrieurement que c'tait nous en secouant le lit.

Je voyais Fatou se mordre les lvres pour ne pas crier. Je ralentis alors le rythme, l'embrassais pleine bouche, introduisant ma langue pour caresser la sienne.

Je sentais que j'allais venir. Je voulais absolument la faire jouir, de peur qu'elle ne veuille plus faire l'amour plus tard sinon. La tension retombe lgrement de mon ct, je repris mes coups de piston. Fatou referma la bouche. Je me suis dit ce moment que la bouche ouverte l'aiderait se dcrisper et jouir avant que je ne tienne plus.


- ouvre la bouche ma chrie, ouvre...

Et je l'embrassais nouveau. Elle rouvrit la bouche, librant sa respiration saccade.

- Allez ma petite Fatou, sois pas timide.

Elle sourit, haletait plus fort.

- Allez ma chrie, tu aimes hein ?

Elle secoua la tte pour dire oui. Voyant qu'elle respirait de plus en plus fort, qu'elle se librait enfin malgr ses yeux ferms, je redonnais du rythme mes coups de reins.

- Prends ton plaisir ma chrie.
- Mmmm... Mmmm...
- tu aimes hein ?
- Mmmm... Mmmm... Mmmm...

Je savais qu'elle aimait, mais je voulais qu'elle le dise et qu'elle jouisse, je n'allais vraiment plus tenir longtemps. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris ce moment-l, j'ai arrt mes va-et-vient et lui ai mis une tape sur la fesse :
- tu aimes ?
- oui...

Et je repris mes coups de pistons, satisfait. Aprs un ou deux aller-retour, je lui ai redemand si elle aimait. N'obtenant pour rponse que sa respiration saccade, je me suis de nouveau arrt et lui ai mis une tape sur l'autre fesse. Elle me rpondit oui, lcha ses cuisses, m'entoura de ses bras et de ses jambes comme un koala, et posa ses pieds sur mes fesses qu'elle poussait vers elle de ses talons. Elle me voulait vraiment en elle. J'en ai eu la certitude parce qu'elle m'a lanc ce moment un regard implorant que je revienne en elle.

"Tant pis", me dis-je moi-mme. Je me remis la besogner nergiquement, je ne m'occupais plus de la faire jouir. Je ne faisais plus que du pistonnage, nos chairs claquaient l'une contre l'autre et je sentais que je venais. Le plaisir montait trop pour que je puisse me contenir. Ralentir ou m'arrter n'y changerait plus rien.

Plus que quelques va-et-vient et ce serait finit. Les talons de Fatou taient toujours en train d'entretenir mon rythme, je lui remis une tape sur une fesse, puis sur l'autre. "Tu aimes ?". Je l'interrogeais nouveau et sans attendre sa rponse, remis une puis deux tapes sur une fesse, puis encore deux sur l'autre, je ne me contrlais plus, l'imminence de ma jouissance guidait mon corps et mes gestes.

- Oui ! Oui ! J'aime ! Han ! Han ! Mmmm ! Oui, oui, oui... Mmm... Mmm...

Et alors que je sentais que j'atteignais le nirvana, les parois vaginales de ma partenaire se contractrent sur mon membre, l'enserrant, le desserrant accompagne de sa voix libre de toute inhibition et ponctue de rles sauvages continus.
- Aaaa... Aaaaaa... Mmmm... Oui, j'aime... Oui... Mmm...

Ces contractions sur ma queue eurent raison de moi. Ce fut le feu d'artifice. Tout en ressentant un grand bien-tre intrieur, je me flicitais d'avoir pu faire jouir ma partenaire. Elle avait mis tellement de temps venir, que j'avais peur de ne pas tenir.

Nous sommes rests l'un contre l'autre quelques minutes. Fatou semblait satisfaite. Elle m'expliqua qu'elle ne se reconnaissait pas. Elle n'avait fait l'amour qu'avec deux mecs dans sa vie et n'a jamais couch au premier rendez-vous et n'a pas pris autant de plaisir qu'aujourd'hui. Mais elle me prcisa que j'tais le seul m'tre appliqu dans les prliminaires. Ceci expliquant cela.

Je lui proposais de remettre a l'occasion et ce serait elle qui s'occuperait de moi la prochaine fois. Elle scella notre accord par un baiser. Je me rhabillais et partais avant que sa coloc ne revienne. Avant de refermer la porte de son appart derrire moi, Fatou scruta l'escalier, m'embrassa furtivement et disparut, tout sourire derrire sa porte.

De mon ct, j'allais descendre les escaliers quand je vis arriver une trs jolie blonde, svelte, menue, mais mignonne et intrigante devant moi. Elle ressemblait la description que Fatou m'avait faite de sa coloc. Je me contentais de lui dire bonjour et allais poursuivre mon chemin quand elle me rpondit.

- Bonjour toi.
- Oui... rebonjour...
- Tu tais avec Fatou ?

Me dit-elle d'un air aguicheur. Son regard coquin et son sourire charmeur ne laissaient aucun doute. Elle nous avait entendus. Ou peut-tre mme surpris... C'tait a le bruit de porte : elle avait d nous entendre, a ouvert la porte de la chambre, nous a vus faire la bte deux dos et a referm, est ressortie, et fait comme si elle venait d'arriver.

Comprenant la situation, je me sentais pris la main dans le sac. Mes oreilles chauffaient et mon cur battait rompre mes tympans.

- Euh, oui, on est alls au cinma et je viens seulement de la dposer.

En disant cela, je savais que je mentais, parce que cela faisait plus d'une heure qu'on tait rentrs. A ce moment-l, je sentais que la coloc savait que je mentais.

Elle introduisit lentement la cl dans la porte en me regardant droit dans les yeux.


- Seulement ?

Elle ne tourna pas la cl. Elle la ressortit et la fit re-rentrer, ressortir, re-rentrer, imitant ostensiblement l'acte sexuel.
Je n'osais rien dire. Nous avions t pris la main dans le sac. La coloc nous avait vus... Elle me fixa dans les yeux, enfona d'un coup sec la cl, la tourna. On entendit le loquet.
Toujours en me fixant droit dans les yeux, elle mit ses lvres en cul de poule.

- Seulement hein ?

Elle ouvrit la porte en souriant et j'entendis : "Menteur". Puis elle entra.


- En tout cas, ce que j'ai entendu, Fatou a de la chance...

La blonde aguicheuse referma derrire elle, toujours en sourire. Je me sentais terriblement gn. Je me rapprochais de la porte de l'appart et j'entendis parler. J'tais piqu par la curiosit.

Aprs avoir vrifi que personne n'tait dans l'escalier, je collais mon oreille contre la porte. Je pus distinguer des bribes de conversation.

- Bon alors c'tait comment ? A ta mine rjouie, je devine qu'il t'a baise !
- Mais arrte ! Pourquoi tu dis a ?
- Bah quand mme Fatou, a fait longtemps que je t'ai pas vue avec un mec...
- Et alors ?
- Et alors il est pas mal...
- Arrte
- Bon d'accord j'arrte... Mais je suis quand mme contente pour toi, a fait du bien un coup de bite de temps en temps.
- Quoi ? Tu... Tu nous as entendus ?
- Ha ! Ha ! Eh oui ! Ha ! Ha ! Ha ! Maintenant, je sais que tu aimes la bite autant que moi ! Madame la sainte...
- Non...
- C'est pas grave d'tre une salope... Si ton mec t'a fait dire que tu aimes a, c'est que tu aimes...

A ces mots, je ressentis comme une dcharge lectrique dans le corps. C'tait sr cette fois, nous avions t vus et entendus... Je me suis senti totalement dvoil. Mais en mme temps, entendre la coloc m'a confort. Fatou a aim et elle semble dispose pour recommencer...

Article sponsorisé par Tatiana

 

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