Depuis le début de cette année, je suis sage comme une image. Normal me direz-vous et pas le choix surtout.

J’ai sagement respecté le confinement, joué le rôle de maîtresse d’école aussi correctement que possible, puis gentiment repris à 100% une activité professionnelle. Aux premiers signes de l’été, quand la lumière a à nouveau inondé le ciel, j’ai sagement attendu pour pouvoir à nouveau profiter des terrasses et flâner au hasard des rues. N’attendait-on pas de moi que je sois sage et raisonnable ?

Mais alors voilà, être sage est ennuyant.

Suivre le lapin blanc

Petit petit, où es-tu ? Ne t’enfuies pas, mais où vas-tu comme ça ? Qu’y a t-il dans ce terrier qui semble si profond ? Glissons vers l’inconnu du pays des merveilles, chaque édition du Cap étant une surprise à découvrir, même si l’esprit Cap est, lui, invariable : soleil & lumière, liberté & légèreté, de l’esprit, du corps et de la chair, sur fond de musique chill out avec des pointes de deep house.

Utiliser des baguettes magiques

Tout au pays des merveilles du Cap inspire relâchement et endorphine. Que ce soit un simple apéro, une pool party ou une soirée coquine privée. Nul besoin d’avaler des fioles étranges ou des cookies spéciaux, sauf si bien sûr on recherche spécifiquement des paradis artificiels.

L’utilisation de baguettes magiques, aux vertus jouissives, peut cependant avoir certains avantages. Emmener mon womanizer et mon hitachi s’est révélé être une très bonne idée, autant pour moi que pour notre colocataire et nos invitées de passage.

Se frotter à Harley Quinn

Mais que serait le pays des merveilles sans son lot de rencontres improbables ? Cette édition n’a pas fait exception en mettant sur mon chemin des personnages hauts en couleur et délurés avec lesquels les interactions ont été intenses et marquantes.

Croiser la route d’Harley Quinn, à la fois forte et fragile, furieusement sexy et délicatement douce, extravertie et timide, est un cocktail doux amer auquel il est délicieux (et peut être dangereux parce qu’addictif) de succomber.

Ce fut un matin, dans la chambre qui nous avait été attribuée, alors que rien ne laissait préjuger de la tournure des évènements, qu’elle est venue au contact et m’a dégustée dans une vague de douceur renversante. Son piercing sur la langue alla se perdre dans ma bouche, pendant que ses mains courraient sur tout mon corps, pour finir par titiller mon clito, jusqu’à l’orgasme.

Ce matin là, avant de jouer avec elle, mon homme et moi avions été plus qu’actifs et j’avais déjà joui 2 fois, avec l’aide bienveillante de mes sextoys. Je doutais donc de ma capacité à être envahie pour la 3ième fois par le plaisir. C’était sans compter sur la dextérité et la patience d’Harley Quinn.

Conquérir le Chapelier Fou

Avec le Chapelier Fou, ça n’était pas notre 1ère rencontre. Nous faisons partie du même réseau de connaissances libertines et sommes amenés à nous croiser, plus ou moins régulièrement, sur Paris ou au pays des merveilles. Pour autant nos échanges s’en étaient toujours tenus à des salutations polies et il était difficile de le mettre dans une case précise.

Du peu de situations où j’avais pu le voir à l’œuvre, il semblait aimer davantage la domination et les hommes. Ce qui, pour autant, n’était pas incompatible avec des interactions sexuelles avec des femmes. Mais je ne le voyais pas aller dans ce sens.

Et pourtant il était loin de me laisser indifférente, ce mâle alpha aux faux airs de Mick Jagger, affublé de tenues sado-maso autant masculines que féminines, dégageant un charisme de dingue et une force tranquille surprenante et autour duquel flottait une aura de mystère. Le Chapelier Fou m’impressionnait et m’excitait.

Etait-il possible qu’il puisse s’intéresser à la libertine que j’étais, avec une sexualité vanille (en comparaison a priori avec à la sienne) ? Et en même temps, pourquoi attendre qu’il pose son attention sur moi et pourquoi ne pas exprimer simplement mon désir ?

Ce soir là, après l’avoir salué comme à l’accoutumée, je pris donc mon courage à plusieurs mains pour lui donner le fond de ma pensée (qui me titillait depuis si longtemps) : A chaque fois que je te vois, j’ai envie que tu me plaques contre un mur.

Il fut surpris par cette révélation, flatté aussi me semble t-il, et me répondit d’une voix assurée et d’un ton calme : dans une demi-heure, je m’occupe de toi. La chaleur monta d’un cran et j’avais l’impression d’être une jeune adolescente émoustillée qui allait découvrir les choses de l’amour pour la 1ère fois.

Le Chapelier Fou fut ponctuel, il prit ma main et me demanda : il faut un 2ième homme, avec qui tu veux coquiner ? Je ne m’attendais pas du tout à cela (imaginant plutôt un duo avec lui) et désignais le 1er beau jeune homme sur mon chemin. Un blondinet aux faux airs de Captain America (aux antipodes du stylé Chapelier Fou), qui déclina l’invitation.

Sur le lit à baldaquin trônant à côté de la piscine du Riad, le Chapelier Fou se montra dur (au sens propre) et directif (sans occulter pour autant mon homme) et trouva la 2ième queue qui put venir soutenir la sienne dans une double vaginale. Pour finir sur cette phrase (à laquelle j’adhérais volontiers) : On a encore des choses à explorer tous les deux.

Se perdre (et se retrouver) dans le labyrinthe

Mais s’il y avait une seule leçon à retenir de cette balade au pays des merveilles, ce serait celle-ci : Dans le labyrinthe du désir et du plaisir, il est facile de se perdre. Après avoir joué à cache-cache, mon homme et moi nous y sommes retrouvés.

« Quelle que soit la durée de votre séjour sur cette petite planète, et quoi qu’il advienne, le plus important, c’est que vous puissiez, de temps en temps, sentir la caresse exquise de la vie » Avis de passage – Jean Baptiste Charbonneau

  

 


 

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