Charme et passion

Les périodes de soldes sont propices à faire de bonnes affaire et partant aux Antilles j’avais besoin d’acheter un nouveau maillot de bain. J’allais quitter le grand froid

Charme et passion

Les périodes de soldes sont propices à faire de bonnes affaire et partant aux Antilles j’avais besoin d’acheter un nouveau maillot de bain. J’allais quitter le grand froid de la métropole pour aller me réchauffer au soleil j’avais hâte.
Je cherchais donc un magasin et je parcourais les rues de Limoges. Mon regard se posa sur le magasin Charme et Passion, un magasin de lingerie plutôt agréable ou de superbes modèles étaient exposer. Aubade, Lou, un vrai bonheur pour moi, fétichiste de la lingerie. Cela faisait très longtemps que je n’en avais pas offert et depuis ma séparation j’étais sur les dents.

Je remarqua aussi que ce magasin vendait aussi de la lingerie masculine alors pourquoi pas des maillots de bains … Le magasin semblait vide de clients je me décida à entrer :
– Bonjour madame je cherche un maillot de bain car je m’envole vers la Martinique la semaine prochaine ?
– Tout a fait j’ ai ce qu’ il vous faut! Vous avez de la chance! 

La vendeuse était une jeune femme de 40 ans, jolie et assez sensuelle, avec une voix suave et chaleureuse. Elle était vêtue d’ un chemisier blanc qui laissait entrevoir un soutien-gorge de couleur rouge et portait un petit jean qui moulait parfaitement ses formes.

– Suivez-moi j’ ai reçu une nouvelle collection.

Je parcouru quelques mètres et arrivait dans le fond de la boutique entre les collections de soutiens gorges, tangas et strings d’Aubade. J’ étais comme dans un rêve éveillé. Apres avoir regardé plusieurs modèles, la vendeuse me demanda si toutefois je n’aurais pas besoin également de repartir avec de la lingerie.

 – Je viens de recevoir de nouveaux boxers ils sont très sympathiques, confortables et sexy à souhait ils ont beaucoup de succès !

Elle me regarda avec un petit sourire en coin l’ œil pétillant :
– Votre amie devrai beaucoup aimer!
– Hélas, lui répondis-je,  Je viens de me séparer.
– Ah… dit elle,  vous êtes célibataire et bien faites vous plaisir laissez-vous tenter ! Si vous voulez vous pouvez même en essayer quelques uns…

A ce moment je devenais terriblement gêné et je pense qu’elle le savait ou alors elle s’en doutait.

– Il est presque 12h et je dois fermer mon magasin mais prenez votre temps je dois continuer mon inventaire.

Je regardais les différents modèles et je dois l’avouer j étais tombé sous le charme de cette jeune femme.

– Ah j’oubliais j’ai également d’ autre modèles mais n’ importe qui ne porte pas ce genre de lingerie, vous savez dans le vie il faut oser….

Cela devenait très suggestif, je commençais à être de plus en plus troublé.

– D’autres modèles c’est à dire ?

La vendeuse s’ approcha délicatement son parfum me montait à la tête.

– Fermez les yeux et suivez moi, un petit rire s échappa de sa bouche elle me prit la main et m attira quelques mètres plus loin, touchez et vous me direz ce que vous en pensez.

Je sentais le contact du tissu c’ était assez fin et très mini

– Vous devriez en essayer un je vous donnerai mon avis.

Alors là j étais en transe ! Je perdais complètement pied avec la réalité !  Elle me demanda d’entrer dans la cabine de fermer les yeux et d’essayer un modèle qu’ elle était partie chercher plus loin.

-Essaye cela devrait t’aller comme un gant je reviens. 

Et elle me glissa à l’ oreille : et n’ oublie pas de te rhabiller car j’ adorerai te déshabiller

Puis, elle referma le rideau de la cabine en souriant. Je découvris que ce qu’ elle m’ avait choisit : c’était un petit string, très petit, de couleur blanc et terriblement échancré ! J’enfila ce petit string. J étais complètement troublé. Déjà, je bandais d’une force. Je ressentais une drôle de sensation. Car le tissu tout entier me moulait, la ficelle du string était tendue comme la corde d’un Stradivarius.

La vendeuse revint juste vêtue d’un petit peignoir de satin rose. Puis, elle entra dans la cabine.

-Tourne toi je vais te bander les yeux et te déshabiller

Alors je m’exécuta sans broncher. Elle me banda les yeux.

-Tu aimes ? me demanda-t-elle,

-J’adore, lui répondis-je

Ensuite, après m’ être laisser faire, elle commença à m’ enlever la ceinture de mon jeans, déboutonna ma chemise et m’enleva mon pantalon.

Mon sexe se tendit à mort. Elle glissa un doigt sous le tissu de mon string et à l’oreille me dit : Je porte un petit tanga sous mon peignoir. Bientôt c’est toi qui jouera avec moi mais avant penche toi !
Je m’exécuta elle me donna une petite fessée et tendit délicatement la ficelle de mon string. J’étais aux anges. Puis elle enserra doucement mes couilles.

– J’ai très envie que tu les vides mais pas tout de suite tourne toi!

Puis elle descendit le long de mon corps et s’ arrêta au niveau de mon sexe qu’elle commença à embrasser doucement. Ensuite, elle prit mon gland dans sa bouche et avec sa langue elle m aspira. Je sentais mes bourses durcirent et prêtes à éclater. Sa langue m aspirait délicatement. Puis, avec un doigt elle s’ occupait de mon petit trou lentement, très lentement son ongle tourna autour de mon petit cul.  Puis elle me demanda de m’ occuper d’elle.

Je dégrafais son soutien-gorge. Ses seins étaient fermes et doux. Je mordillais les tétons, la retourna. Ses fesses très rebondies étaient moulées dans un petit tanga doux et soyeux. Ma main caressa sa petit chatte humide douce et soyeuse.
– Maintenant prends moi je n’ en peux plus !!

Alors, je la pénétra lentement, doucement. C’était fou ! Délirant !  Mais diablement bon !! Ses fesses étaient dures comme de l’ébène. Et elle se laissait aller au plaisir. Puis elle me demanda de la prendre par devant.

– Regarde moi ! Je suis et je resterai ta dominatrice fétiche ! Avant de jouir en moi il faudra me promettre de revenir !
– Bien sur, lui répondis-je

Enfin, d’un dernier sursaut de plaisir mon sexe explosa sur ses fesses faisant briller sa peau délicate et parfumée.

Ce souvenir restera gravé dans ma mémoire. Depuis quand je passe devant un magasin de lingerie je regarde toujours la vendeuse. C’est comme la madeleine de Proust !