Histoire coquine :

Assises la caftria devant leur plateau repas, Corinne et Martine voquent les perspectives de la nouvelle vie qui s'impose elles. Elles ont appris la veille quelles sommes elles vont toucher pour leur licenciement l'amiable et envisagent les diverses perspectives de dpense, estimant qu'elles se donneront du temps pour retrouver du travail :
- Moi, cinquante balais, je risque de ramer pendant un bon moment, rle Martine.
- Penses tu ! Des comptables, on en demande partout. Tandis que moi, le secrtariat... Assistante de direction, ils disent. Tu parles. Assistante de rien, oui.
- Oui mais tu as dix ans de moins que moi et de l'exprience. Tu as encore une valeur marchande.
- Merci pour la valeur marchande. Je ne suis pas une marchandise.
- Mais non, c'est manire de parler. Et puis, tu es belle, a aide.
- Ah oui ? En tout cas, a ne m'a pas aide pour rester dans la boite. Salaud de repreneur. Il a vir presque tous les administratifs.
- Bon, on ne va pas ressasser. On a au moins gagn 50 000 balles. Qu'est-ce que tu vas en faire.
- Sais pas. Faut que je voie avec Michael.
- Moi, j'en ai parl Jacky et je l'ai dj prvenu : je vais enfin pouvoir m'offrir mon vieux rve, un voyage au Sngal en plein hiver. L'embtant, c'est qu'il ne veut pas y aller parce qu'il a peur du tAttentionisme alors qu'il n'y en a pas l-bas. Je m'en fous, j'irai quand mme.
- Toute seule ?
- Pourquoi pas ? Je trouverai bien sur place des gens frquenter. Et puis (elle baisse la voix et se penche vers Corinne) j'ai l'intention de me faire un beau Black, j'en ai envie depuis toujours mais bon, avec le mariage...
- Quoi ? Tu ferais a Jacky ?
- Pas Jacky, moi, moi toute seule. Pour mon plaisir. J'ai cinquante ans et le temps m'est compt. (Elle rebaisse la voix) Et toi, a ne te ferait pas envie, une belle bite bien noire et bien grosse ? (elle pouffe).
- Je suis fidle moi madame...
- Euh, je peux rire ? (Elle rebaisse la voix) Et l'ancien DRH, comment il s'appelait dj ?
- Tais-toi. C'est de l'histoire ancienne.
- Bon alors, tu viens avec moi au Sngal ou quoi ?
- C'est srieux ?
- Bien sr. A nous deux, on s'amuserait comme des folles. Et au moins, a te changerait les ides avant de repartir Pole emploi. C'est ton fric aprs tout.
Corinne reste silencieuse. L'hiver au Sngal... Pas une mauvaise formule. Michael garderait les enfants, a ne lui ferait pas de mal, lui qui ne fiche jamais rien la maison. Elle demande rflchir.
Petite pause dans cette histoire pour prsenter nos deux protagonistes. Martine est petite aux cheveux trs courts teints en roux. Sportive accomplie, elle a conserv un corps ferme avec quelques rondeurs de la cinquantaine. Corinne l'inverse est grande, blonde, lance avec de petits seins haut plants. Collgues et amies, elles se font volontiers des confidences sur leurs vies prives.
Le lendemain, Corinne vient parler Martine qui est en train de dmnager son bureau avant le grand dpart :
- J'ai parl Michael. C'est d'accord, je viens avec toi. Il a un peu rl mais il comprend et a le rassure de te savoir avec moi. Je me demande s'il a raison d'ailleurs...
- Chouette ! Tu vas voir, on va bien s'amuser. N'oublie pas ton maillot de bain. Je te propose d'opter pour un club, on n'aura qu' se laisser porter.

********
Deux semaines plus tard, les deux copines dbarquent l'aroport de Dakar par une chaleur touffante laquelle elles ne sont plus habitues. Dans l'intervalle, elles ont sold leurs comptes avec leur entreprise, dmnag leurs affaires et prpar leur escapade. Un autobus les attend pour les amener l'htel club o elles ont rserv leur sjour d'une semaine. L'emplacement est idal : au bout d'une lagune, en bord de mer, quasiment sur la plage. Elles ont choisi une sorte de suite qui leur permet de cohabiter sans se gner, chacune dans sa pice avec porte communicante. Leur premire activit est de se mettre en maillot de bain et d'aller plonger dans l'eau tide. Martine porte un bikini turquoise qui moule ses formes pleines et les contient grand peine. Les poils de son pubis non ras frisottent au-dessus de l'lastique du slip, si bien qu'elle se sent oblige de le remonter en permanence. Quant Corinne, est-ce vraiment un bikini qu'elle porte sur la plage ? Plutt trois morceaux de tissu qui dissimulent le strict minimum et tient par la grce de ficelles assez lches. Ce qui lui vaut ce commentaire de Corinne :
- Tu les as achets o, tes confettis ? A Saint Trop ?
- Idiote. Tu es jalouse parce que je suis bien foutue.
- En tout cas, si tu te fais violer sur la plage, ne viens pas te plaindre.
- Bof, on commencera par toi, les Blacks aiment les rondeurs, pas les grandes saucisses...
A peine sont-elles arrives que les hommes, de toutes couleurs, les ont dj remarques. C'est d'ailleurs le but recherch...
Trs vite, elles prennent le rythme de l'htel. Plage le matin, repas au buffet, trs copieux, sieste l'aprs-midi, animations le soir, quelques excursions dans des villages voisins pour acheter de l'artisanat en fin d'aprs-midi. Ce programme ronronnant les ennuie trs vite. Sur la plage, elles ont li connaissance avec un grand Noir souple et souriant prnomm Djibril, qui leur propose des promenades individuelles un prix raisonnable "en dehors des circuits touristiques". Elles acceptent aussitt, trop heureuses d'chapper l'autocar de l'htel avec ses couples d'ge mr et quelques braillards qui se croient malins parce qu'ils sont Europens en Afrique.
Djibril leur fait visiter quelques villages typiques. Elles achtent mme chacune un boubou color qu'elles promettent d'trenner le soir mme " poil dessous, comme les Sngalaises". Pour les accompagner, Djibril a reu le renfort de Lamine, un deuxime chauffeur trapu aux biceps impressionnants : "notre garde du corps" annonce Djibril.
Les deux hommes ont prvu une soire danse au son des tam-tams dans un village un peu loign : "on dormira sur place", assurent-ils.

*********
Corinne et Martine dcouvrent que leurs guides leur ont amnag une case plutt confortable avec deux lits jumeaux pour la nuit. Mais c'est la soire qui les excite. Elles ont revtu leur boubou aux couleurs vives pour l'occasion. Djibril et Lamine sont aux petits soins pour elles et leur explique la signification des danses endiables qu'elles dcouvrent tout en sirotant le bissap, une boisson sngalaise typique, trs sucre, base de vanille et de fleur d'oranger. Elles se font inviter danser et se laissent prendre par le rythme. Djibril et Lamine dansent torse nu, leur peau noire est luisante de sueur, laquelle souligne leur belle musculature. Une ambiance lectrique rgne dans le village, qui tourne l'rotisme avec de jeunes Noires lascives mimant l'acte sexuel en dansant. Martine et Corinne commencent avoir trs chaud sous leur boubou. Subrepticement, la main de Djibril s'est glisse sur la taille fille de Corinne qui ne l'a pas repousse tandis qu'elle considre le spectacle. Martine a carrment pos sa tte sur la robuste paule de Lamine, qui la tient par le cou. Corinne se laisse envahir par la chaude atmosphre et semble fascine par le spectacle et les sons. Quand elle se retourne vers Martine, celle-ci est en train d'embrasser Lamine pleine bouche : "Oh l l, elle est en train de draper", se dit-elle. Djibril la caresse maintenant franchement, sur la nuque, sur son paule dcouverte, sur sa joue et Corinne se sent fondre de plus en plus. Bon sang, si Michael la voyait... Cette pense la fait ragir. Non, elle ne va pas tromper son mari ici, en Afrique, et se laisser gagner par l'atmosphre rotique de cette soire pige.
- Excuse-moi mais je vais rentrer la case, j'ai envie de dormir, souffle-t-elle l'oreille de Djibril, qui n'insiste pas. Elle cherche Martine du regard et ne la trouve pas. O est-elle encore alle, celle-l ? Tant pis, elle ira se coucher seule.
A l'entre de la case, elle s'aperoit qu'une faible lumire rgne l'intrieur. Mais suffisamment forte, cette lumire, pour constater que deux corps nus occupent l'un des deux lits. Une blanche et un noir. Martine et Lamine. Corinne constate avec stupfaction que la tte rousse aux cheveux courts de Martine va et vient sur l'entre-jambes de Lamine, couch les mains sous la nuque. Bat.
- Martine ! Qu'est-ce que tu fais ?
Celle-ci se retourne vers elle et Corinne peut alors constater la formidable rection de Lamine, dot d'un pnis pais au gland prominent, luisant de la salive de Martine, ce qui lui fait une trace blanchtre sur sa peau noire.
- Ben, tu vois pas ? On baise...
- Tu es vraiment gonfle, faire a ici...
- Oh a va ! Tu ne vas pas faire ta mijaure. Tu n'as qu' en faire autant.
- Ah non alors, je ne suis pas venue ici pour a.
- Moi si. Alors, ou tu restes et tu nous fiches la paix, ou tu vas faire un tour. Je te prviens, a risque d'tre long.
Sur ce, Corinne carte le rideau de la case et retourne vers le lieu de la fte, fulminant contre la "trahison" de son amie. Mais la fte se termine. Les femmes procdent au rangement, les musiciens remballent leur tam-tam, seuls quelques groupes isols continuent de converser. Corinne s'avance vers l'un d'eux :
- Vous n'avez pas vu Djibril ?
- Il est parti par l, indique une des filles en montrant une direction l'oppos du village. Corinne se dirige vers l'endroit et voit une case claire de l'intrieur. Elle carte lgrement le rideau et dcouvre l'une des danseuses noires chevauchant un compatriote avec toute la vitalit de son fessier. L'homme lui rplique avec ardeur, les pieds en appui sur le lit. Il ne faut pas longtemps Corinne pour comprendre que ce mle suprieurement quip est Djibril. Un rire clate dans le dos de la voyeuse involontaire :
- Tu veux faire tic-tic toi aussi ? glousse une autre danseuse galement accompagne, qui passe devant la case.
"Un lupanar. Voil o je suis tombe", pense Corinne. "Bon, les deux autres ont d terminer, je vais pouvoir aller me coucher".
Quand elle carte le rideau de sa case, elle constate que le couple bicolore est loin d'en avoir fini avec sa complicit. Martine lui fait face quatre pattes tandis que Lamine la possde en levrette, les mains poses sur ses hanches, laissant la rousse faire l'essentiel du travail en agitant sa croupe. A entendre ses soupirs de contentement, elle se rgale. Nanmoins, elle s'interrompt quand elle dcouvre Corinne :
- Bon alors, tu es calme ? Allez, dshabille-toi et viens te joindre nous, Lamine a les moyens de nous satisfaire toutes les deux.
- Non, pas question. Je me couche mais continuez, ne vous gnez pas pour moi. Enfin, pas trop longtemps, hein ?
- Comme tu voudras.
Et Martine pousse Lamine sur le lit en l'invitant relever ses jambes afin de lui lcher les couilles et le scrotum, tout en branlant la queue recouverte de latex.
- Mais c'est dgueulasse, ce que tu fais ! lche Corinne.
- Mais tais-toi ! Tu ne sais pas ce qui est bon.
Et elle reprend son exploration buccale, s'attarde sur l'anus de sa petite langue pointue, revient aux couilles puis au gland violac qu'elle tte avec volupt. Lamine la regarde avec attention en lui caressant le crne, et pour la premire fois intervient :
- Viens sur moi maintenant, je veux voir ton cul.
Et elle s'empale sur le dard dense, dur et pais du Sngalais. Sans la moindre considration pour son amie, Martine, pose sur ses pieds, se met louvoyer, onduler et voltiger dans un bruit de clapotis et de peaux claques, les seins en bataille, les mains en appui sur les cuisses puissantes du Noir. Celui-ci est presque passif car Martine vient chercher sa bite de toute la souplesse et l'nergie de ses hanches rondes. Elle halte les yeux clos, tout entire son plaisir. Corinne regarde son amie baiser avec fascination, subjugue par sa capacit faire abstraction de tout autre lment que cette bite qui la mne tout droit au septime ciel. De fait, elle pousse un cri strident et s'effondre sur le flanc, le souffle court.
- Oh l l, quel coup ce mec ! finit-elle par dire l'intention de Corinne qui repose sur le lit dans son boubou. Et regarde, il bande toujours. Tu pourrais au moins le sucer un peu ?
- Je t'ai dit non, rpond Corinne d'une voix un peu moins assure, car ce qu'elle a vu l'a profondment remue.
- Je ne te croyais pas si conne. Hein Lamine qu'elle est conne, ma copine ?
Le Sngalais ne rpond rien mais sourit de toute ses dents en se masturbant. Puis il plonge son mufle entre les cuisses courtes et charnues de Martine qui se met roucouler :
- Oh oui, encooore...
Corinne s'est jete hors du lit et file l'extrieur respirer un grand coup de l'air chaud de l'Afrique. Elle essaye de penser trs fort son mari, mais son esprit revient invariablement vers les coups de reins de Djibril et le pnis de Lamine. "Je suis en feu" constate-t-elle. Sur le moment, elle est prte se glisser hors de son boubou et s'allonger ct de Lamine, cuisses ouvertes, afin qu'il teigne l'incendie en elle. Comme en tat d'urgence. Elle rentre dans la case comme une automate. Son regard tombe sur le puissant fessier du Sngalais entour des petites jambes muscles de Martine. Lamine besogne dur, de plus en plus dur, de plus en plus vite, Martine se pme bruyamment, encourage son amant :
- Oui, encore, plus fort, dfonce-moi, rentre-moi les couilles, je te veux tout entier !
Le petit lit tangue sur ses pieds, Corinne se demande s'ils ne vont pas finir leurs bats sur le sol de terre battue et c'est alors que Lamine se retire en gmissant, la capote pendouillant entre ses cuisses, pleine d'un norme paquet de sperme. La lourde poitrine de Martine, luisante de sueur, pulse comme aprs une course. Corinne est presque due de ce feu d'artifice prmatur. Et en mme temps soulage. Elle n'aura pas failli...
Lamine a fini par partir et Corinne peut enfin se coucher. Elle a t son boubou et repose nue sur la couche. Martine s'est endormie sur le ventre, cuisses ouvertes, la vulve encore bante. Elle respire bruyamment si bien que Corinne ne parvient pas trouver le sommeil malgr sa fatigue. Elle dcide de se masturber pour s'aider se dtendre. Son doigt tourne autour de son bouton. Elle pense la fois son mari, Lamine, Djibril... et finit enfin par s'endormir.

********
Elles sont revenues le lendemain l'htel, accompagnes par leurs chauffeurs, comme si rien ne s'tait pass. Mais une fois seules dans leur suite, les changes sont alls bon train.
- Je ne te connaissais pas sous cet angle. Tu es une vraie salope ! lcha Corinne.
- Oui et alors ? Tu ne sais pas tout de ma vie. J'ai toujours aim le cul et plus c'est cochon, plus c'est bon.
- Et Jacky, il en pense quoi ?
- Il est pire que moi. Tu sais, on n'est pas un couple classique. On pratique l'changisme, le mlangisme, les trios... On aime le sexe hors des normes.
- Alors l tu m'en bouches un coin. Si on n'tait pas venues ici ensemble, je ne m'en serais jamais doute.
- Eh oui. Je te dois ?
- Euh, non, disons que tu me surprends. Je ne te croyais pas si vulgaire.
- Je ne suis vulgaire qu'au lit ! Mais dis donc, tu me fais la morale ? Tu n'as jamais tromp Michael ?
- Euh, si, mais ce n'est pas pareil.
- Ben voyons. Tu crois que je ne t'ai pas vue te laisser peloter par Djibril ? La diffrence entre toi et moi, c'est que toi, tu n'as pas os passer l'acte, voil. Tu es bien bte car tu aurais pris ton pied, c'est sr. Ces mecs sont faits pour le sexe et pour nous donner du plaisir.
Corinne pensa alors la danseuse qui couinait en chevauchant la bite en acier de Djibril. Elle frissonna ce souvenir. Martine avait peut-tre raison, aprs tout.
- Bon, on va se baigner, a me calmera. Cette soire m'a tue, lcha la grande blonde.

*********
La semaine s'achve et il reste encore une journe d'excursion en compagnie de Djibril et Lamine. Il rgne entre les deux hommes et les deux femmes une nouvelle complicit. Lamine et Martine n'arrtent pas de se bcoter sur le sige arrire. Corinne se demande un moment si sa copine ne va pas tailler une pipe au Sngalais en plein voyage, mais ils semblent se rserver pour la soire. Celle-ci aura lieu l'htel o une animation spciale fin de sjour est programme. Djibril et Lamine sont invits par les deux Franaises partager leur table. A dire vrai, le spectacle concoct par les animateurs de l'htel ennuie un peu les deux filles, s'il plait davantage aux deux hommes.
- Qu'est-ce qu'on fout l ? J'ai envie de baiser, lche Martine. Tu viens avec nous j'espre. Je ne vais pas me garder deux mecs pareils pour moi toute seule.
Corinne ne rpond pas. Elle est en pleine agitation intrieure. Sa tte et son bas-ventre sont en conflit interne. Martine l'a trs bien compris et devient directive :
- Bon, allez, on y va et ne discute pas.
Et elle lui prend le bras en l'entrainant vers l'ascenseur, Lamine et Djibril sur leurs talons. En entrant dans la chambre, Martine envoie valser ses sandales et ouvre le mini bar. Djibril et Lamine ne se font pas prier pour un petit scotch. Pendant qu'ils sirotent, Martine file la salle de bain pour quelques ablutions et en revient compltement poil. Elle s'allonge sur le lit, son verre la main, dfiant les deux hommes et surtout Corinne du regard. Djibril fait passer sa tunique par dessus sa tte, rvlant un torse dpourvu de graisse et musculeux souhait, puis baisse son pantalon. Sa verge pend jusqu'aux haut des cuisses, impressionnante de longueur. Lamine est pass derrire Corinne, assise sur un fauteuil, lui caresse les seins travers son top bretelles. Quand il amorce un mouvement pour le retirer, Corinne ne rsiste pas : elle lve les bras. Elle est maintenant en short et soutien-gorge. Elle regarde Djibril qui a rejoint Martine sur le lit pour la caresser de ses longues mains noires aux ongles roses. Ils se masturbent mutuellement, lentement, tranquillement.
- Qu'est-ce que vous attendez pour nous rejoindre ? lance la rousse.
Lamine a pris Corinne par la main. Il est nu et son court pnis, si dense et si pais, est maintenant en rection. Corinne se retrouve sur le grand lit, tout prs de l'autre couple qui poursuit ses prliminaires. Lamine tire sur son short et entraine le slip avec lui. C'est elle-mme qui dgrafe son soutien-gorge. Elle est prte. Elle va baiser et elle en a trs envie.
Surprise : c'est Djibril qui, dlaissant Martine, l'entreprend en premier. Sa tte vient se nicher entre ses cuisses pour lui laper la vulve et il laisse sa queue porte de sa bouche pour qu'elle lui rende la pareille. Corinne ne se fait pas prier. Elle gobe le gland qui dj gonfle vue d'oeil et lui trouve un got diffrent de celui de son mari. Plus sal, plus sauvage. Mais trs goteux. Ses joues se gonflent et se creusent tandis que la langue de Djibril taquine son bouton. Tout contre elle, Martine s'abandonne elle aussi la langue de Lamine en se tenant les cuisses.
- C'est bon, hein, Coco ? souffle-t-elle son amie entre deux gmissements de plaisir. Tu vas voir, on va prendre un pied d'enfer et finir nos vacances en beaut.
Aprs une longue sance de succion, Corinne a trs envie d'tre pntre. Et cela ne date pas de ce moment. Son bas-ventre un besoin urgent d'une thrapie radicale base de fouille. Fbrile, elle regarde Djibril coiffer son pnis maintenant imposant d'une capote. Tout en continuant de se faire lcher par Lamine, Martine observe la scne et interpelle Djibril :
- Allez, baise-l, elle n'attend que a, mais pas de chichi, hein, fond !
Corinne attrape Djibril avec ses longues jambes et l'entraine vers son bassin en fusion. Quand il la pntre, elle fait "ooooohhh", mlange d'tonnement et de bien-tre, et l'enlace par le cou. Le Sngalais, emprisonn dans les tentacules de la blonde, fait virevolter son fessier avec souplesse, cherchant les parois vaginales. Il la plie en deux comme un sandwich. Ses couilles battent les fesses de Corinne presque sous le nez de Martine qui ne rsiste pas l'envie d'intervenir. Les bourses stimules par la main de la rousse, Djibril percute de plus en plus durement et Corinne lche quelques sonores onomatopes. Elle lche les paules de Djibril et se prend par les pieds pour s'ouvrir au maximum. Un orgasme prmatur la fait trembler des pieds la tte. Emport par l'enthousiasme sexuel de sa partenaire, Djibril manque de peu d'jaculer et se retire juste temps, la main emprisonnant son dard pour prvenir l'afflux de sperme. Martine rigole :
- Eh ben dis donc Coco, tu as bien failli provoquer le cot le plus court du Sngal !
Corinne, les yeux au plafond, halte et souffle :
- J'avais tellement envie, je ne pouvais plus me retenir...
Mais le lit est agit d'une autre houle, cette fois provoqu par Lamine qui besogne Martine, laquelle ne fait plus de commentaire, trop occupe qu'elle est par ce qui se passe entre ses cuisses. Puis l'homme la renverse sur lui et elle le chevauche, le cul en fanfare. Djibril, qui a repris ses esprits, lui carte les fesses et vient lui lcher l'anus. Tout en ondulant, Martine se retourne et l'interpelle :
- Prends-moi par l, dfonce-moi la rondelle !
Alors, Corinne assiste en direct ce qu'elle ne croyait pas possible : une femme (son amie) prise en mme temps par deux hommes, noirs de surcroit. L'affaire ncessite une petite organisation. Lamine ne bouge plus, Martine se cambre et Djibril entre en elle petits coups jusqu' ce que le sphincter de la rousse se dtende :
- Oui, a y est, tu y es, vas-y maintenant, allez allez ! dit Martine d'une voix rauque.
A l'vidence, les deux hommes n'en sont pas leur premire exprience du genre. Ils se synchronisent suffisamment bien pour que Martine se sente parfaitement remplie et le fasse savoir :
- Ah je vous sens bien, bougez, bougez !
Prise par les deux trous, Martine se dlecte, elle se passe la langue sur ses lvres et regarde Corinne l'oeil ptillant de malice. La blonde se masturbe frntiquement, incapable de rester passive ce spectacle. Mais le regard de Martine devient soudain vide, absent, concentr et son tour, l'orgasme la prend par les tripes. Son corps entier est pris par la chair de poule alors qu'il fait dans la chambre une chaleur moite peine tempre par la climatisation. Elle s'croule sur Lamine et Djibril se retire de son rectum avec un bruit mouill. Toujours en rection.
Le quatuor prouve alors le besoin d'une petite pause. Martine va boire un verre d'eau la salle de bains, les deux hommes retirent leur capote pour en mettre une fraiche. Corinne comprend que c'est son tour.
- Baisez-l tous les deux ! ordonne Martine, son verre la main.
Corinne s'allonge sur le lit, en attente, un peu fbrile. Elle a attach ses cheveux blonds en chignon avec une barrette. Elle a dj eu un orgasme avec Djibril mais n'est pas rassasie. Au contraire, ce rapport court et intense la mise en apptit. Sur le moment, elle ne pense plus du tout Michael. Elle pense la bite de Lamine qu'elle a envie de goter aprs celle de Djibril. Elle lui fait signe avec son doigt : "viens par ici mon mignon". L'homme a compris. Il se met genoux sur le lit, ses imposantes parties gnitales en avant. Corinne vient y fourrer son nez et sa bouche. Le gland l'impressionne par son paisseur, sa densit mais aussi son got si particulier. Elle pompe avec avidit et sent en mme temps une langue lui titiller le clitoris. C'est celle de Djibril. Les deux hommes se concertent. Comment vont-ils la prendre, cette grande blonde aux longues jambes fuseles ? "Comme Martine" dcide Djibril. Corinne a compris. Elle escalade Lamine qui s'est couch ct d'elle et s'empale lentement. Elle gmit car sa chatte troite doit faire de la place au gland prominent. Mais elle est tellement lubrifie que celui-ci baigne vite dans l'huile. Son bassin va et vient dans une large amplitude de mouvement afin de ne laisser aucune partie de son intimit l'cart du bienfaisant contact. Elle sent une chatouille au niveau de son anus, se retourne et dcouvre la tte de Djibril en train d'humidifier son petit trou :
- Il va t'enculer, prvient Martine qui, tout ct, assise sur un fauteuil, se masturbe en les regardant.
Corinne, instinctivement, se cambre. Elle veut russir ce "challenge" pour la premire fois de sa vie afin de ne pas faillir devant son amie. Djibril a un peu plus de mal rentrer qu'avec Martine. Il doit s'y reprendre deux fois aprs que Corinne eut cri de douleur et interrompu son va et vient. Mais la deuxime fois est la bonne et Corinne reprend ses circonvolutions fessires. Ce n'est pas la premire fois qu'elle se fait sodomiser mais de cette manire, c'est vraiment une premire. Elle sent intimement le contact des deux bites, si proches l'une de l'autre travers son intimit. Elle couine, elle feule, elle brame, elle halte, elle gmit. Martine l'encourage en se masturbant frntiquement :
- Allez Coco, vas-y, lche-toi, baise, baise !
Surexcite, Corinne se laisse emporter par son temprament et jouit, d'une jouissance fulgurante et intense. Mais les deux hommes continuent de limer jusqu' ce qu'ils remplissent leur capote leur tour. Fin de l'pisode...
Les adieux ont t brefs mais pleins de promesses : "on reviendra" ont-elles promis Djibril et Lamine. Paroles verbales de fin de sjour ? Pas si sr. Dans l'avion, Corinne et Martine voquent leur avenir professionnel aprs s'tre longtemps attarde sur cette semaine inoubliable.
- Tu sais, j'ai rflchi, dit Corinne. Pourquoi on ne crerait pas une petite agence de voyage spcialise dans les circuits typiques chez l'habitant africain, comme on l'a fait cette semaine ? Moi, je serai l'administrative et toi la comptable. Ce serait un bon moyen d'exploiter notre prime de dpart.
Martin rflchit un court instant. Et sa rponse fuse :
- Pourquoi pas ? Il faut juste btir un business plan mais je sais faire. Et tu sais quoi ? Je sais dj qui serait nos correspondants au Sngal...

Article sponsorisé par Tatiana

 

plan cul rencontres afterwork sexfriends partouze

 Une entrée offerte au prochain afterwork sexfriends ici

 

: Tweet