La renaissance d’Héloïse – Chapitre 4

Chapitre 4

  • Ils nous regardent, je les regarde !
  • Laisse-les faire.
  • Ça devient très intrusif là, ils sont juste au-dessus, on dirait des vautours prêts à fondent sur leur proie.

Parmi eux, je ne reconnus pas ceux qui ont assisté au spectacle tout à l’heure. Si certains allaient et venaient, d’autres étaient figés, les mains croisées sur leur ventre, semblant scruter l’horizon alors qu’on savait très bien que, sous leurs lunettes noires, leurs yeux étaient fixés sur nous.

Je saisis mon portable et décidai de prendre une vidéo. La réaction fut immédiate : ils prirent la poudre d’escampette, tous sauf un !

  • Tu fais quoi ? Demanda Carole.
  • Je les fais fuir et ça marche !
  • Ils sont partis ?
  • Il en reste un !
  • Il est tout nu ?
  • Non, il porte un short.
  • Qu’est-ce qu’il fait ?
  • Rien de particulier, il regarde.

Revenu sur ma serviette, je mis de l’huile solaire sur Carole qui était sur le ventre en lui massant les fesses et l’entre cuisses.

  • C’est vraiment dommage que tu n’aies pas apporté notre ami.
  • On le prendra demain.
  • Ce soir, on fait quoi ?
  • On peut aller boire un verre quelque part puis au resto, non ?
  • Oui !
  • Tu n’as pas l’air emballé.
  • Si, si, très bien. Qu’est-ce que tu vas me faire porter ?
  • Ah ça, tu verras bien !
  • Tu lis une autre histoire ?

Je repris le magazine et entamai la lecture, mais cette fois-ci, nous ne joignîmes pas les gestes à la parole et c’est sagement que notre après-midi plage se termina.

Habillés et les affaires ramassées, nous prîmes le chemin vers le parking. La tunique de Carole lui collait tellement à la peau que personne ne pouvait ignorer les détails de son anatomie. Mais apercevoir des seins et un cul dans cet endroit était plutôt ordinaire donc pas très excitant finalement, ça le serait plus dans un endroit public, une supérette par exemple. Et dans le patelin que nous avions traversé à l’aller, il y en avait une.

Je garais la voiture.

  • Qu’est-ce tu fais ?
  • On prend quelques trucs pour l’apéro ?
  • Il me faut aussi de l’après-soleil, je n’ai pas pris le mien.
  • Parfait, allons-y !

En cette fin d’après-midi, il y avait un peu de monde dans ce magasin et notamment des retraités. C’est d’ailleurs un de ces couples qui fut notre première cible.

Dans le rayon des biscuits apéritif, mamie s’affairait à sélectionner ses articles alors que papi poussait le caddy. Nous passâmes devant eux, et alors que Carole imitait la dame, je regardais monsieur. Inévitablement, il vit la jeune femme qui se présenta devant lui et il sembla avoir du mal à en croire ses yeux. Nous fîmes demi-tour dans l’allée, il ne nous lâchait pas du regard. Arrivé à sa hauteur, je lui dis :

  • Elle est toute nue dessous !

J’attrape Carole par le bras.

  • Attends deux secondes !

Puis je soulève sa tunique de façon à dégager ses fesses.

  • Qu’est-ce que tu fais ?
  • Une preuve !
  • Quoi ?
  • Je lui ai dit que tu étais nue, voilà la preuve.
  • Mais ça ne va pas ?
  • Oh si, très bien et c’est très amusant !

Vu sa tête, je pense que l’homme s’en souviendra un moment…

La seconde victime fut un homme seul d’une cinquantaine d’années. Nous le croisâmes dans le rayon “beauté” et, comme précédemment, Carole devint son centre d’intérêt. Il ne la lâcha pas une seconde, elle allait et venait dans l’allée tandis que lui tournait la tête dans tous les sens.

  • Le monsieur aimerait bien savoir aussi, dis-je à l’oreille de Carole.
  • Mais arrête enfin !
  • Hey on peut s’amuser non ?
  • Qu’est-ce que tu veux ?
  • Comme tout à l’heure.
  • Bah vas-y !

Je soulève la tunique. Le type reste figé comme s’il avait vu la sainte vierge. L’instant fut court et je pense que, lui aussi, en gardera un souvenir impérissable !

Nous sommes passés en caisse. Je remarquai les regards : certains stupéfaits, d’autres choqués probablement mais personne ne pouvait rester insensible à la vision de cette jeune femme dont la nudité s’affichait clairement.

Nous rentrâmes au camping.

J’aurais aimé qu’on prenne la douche à deux, mais l’exiguïté de la cabine ne nous le permettait pas. Carole passa donc la première. A sa sortie, elle me demanda ce qu’elle devait porter. Je lui indiquai que, pour l’apéro, une tenue décontractée serait idéal. Je lui proposai donc d’enfiler uniquement le bas de son bikini.

  • C’est tout ?
  • Oui !
  • C’est comme si j’étais à poil finalement.
  • Pas tout à fait.
  • Il y a juste la fente de ma chatte qui est à peine cachée sinon…
  • Tu peux servir l’apéro ? J’en ai pour cinq minutes.

Je m’éclipsai pour prendre une douche à mon tour. A la sortie, je revêtis un mini-boxer très moulant.

Carole avait servi deux verres de vin rouge et les produits achetés plus tôt au supermarché.

Elle était allongée sur un des transats avec le magazine coquin entre les mains.

  • Que lis-tu ?
  • Je feuillette.
  • C’est intéressant ?
  • Oui, excitant surtout.
  • Ça te donne des envies ?
  • Peut-être.
  • Caresse-toi !
  • Fais-le toi, non ?
  • Pourquoi ne le fais-tu jamais devant moi ?
  • Parce que c’est mieux quand c’est toi qui me caresses.
  • Mais moi, j’aimerais bien te regarder le faire.
  • Tu sais bien que je ne sais pas moi !
  • Tu ne sais pas te caresser ?
  • Je préfère quand c’est toi qui le fais.

Carole avait quelques « interdits » : se masturber devant moi, la fellation et la sodomie. Trois tabous dont elle ne se départait pas.

Ce n’est pas la première fois que j’insistais pour que je la regarde se masturber, mais elle était trop timorée pour ça.

Le sujet de la fellation avait été évoqué à de nombreuses reprises, mais un épisode révoltant de son enfance l’empêchait toute mise en bouche d’un pénis. Quant à son rectum, je n’avais pu, jusqu’à présent, y pénétrer qu’un doigt. A chaque fois que je tentais une incursion, elle écartait toute tentative en disant qu’elle n’appréciait pas et, qu’avec un engin comme le mien, il était hors de question que je m’y aventurais. Je lui ai proposé de prendre notre temps, en commençant par lécher longuement et délicatement l’orifice, puis d’y introduire un doigt au début et un autre plus tard, mais sans succès ! Pour elle ça restait sale et douloureux.

J’achetai un bijou spécial anus et lui proposai même un défi : si tu me le fais, accepteras-tu ensuite ?

Bon j’avoue que j’avais déjà expérimenté l’affaire sans qu’elle n’en sache rien et ça ne me déplaisait pas, bien au contraire !

Elle me dit « OK ». Elle eut donc l’occasion de jouer avec mon petit trou sans que moi je puisse accéder au sien. Comme seul réponse, elle me disait qu’elle aimait m’enculer, que j’aimais ça et c’était le plus important…

  • Alors tu viens ?
  • Comment ?
  • Viens me lécher et prend un ami.

Avais-je le choix ? De toute manière j’adorais ça alors m’en priver aurait été une déception.

Le bain de soleil était disposé au pied de la terrasse du mobil-home. La vue était dégagée et quiconque passait devant pouvait bénéficier du spectacle !

Je pris une gorgée de vin, allai dans la chambre et en revins avec l’accessoire tant attendu.

Carole était semi allongée, dos relevé et jambes bien écartées. Je m’installai entre ses cuisses, j’écartai le fin tissu et procédai au léchage en règle. Sa vulve gonflée était déjà bien humide. Je m’appliquai à passer ma langue partout puis à titiller son clitoris. Elle implora que j’utilise l’engin en plastique. Je m’exécutai et introduisis ce gode, ni petit ni gros, avec de grosses nervures, l’idéal pour son plaisir.

Le sextoy bien en place, ma langue suçotait le clitoris, il ne manquait plus qu’une chose pour compléter le plaisir, et c’est arrivé dans la foulée : Carole a pris une de mes mains, l’a posée sur un sein pour que je pince le téton. Je savais que l’action cumulée de mes deux mains et de ma bouche allait la faire jouir rapidement.

Durant l’exercice, des voitures sont passées devant notre emplacement. J’ai même entendu des pas, mais personne n’est venu se plaindre, heureusement d’ailleurs, cela nous aurait mis dans une situation assez embarrassante.

Mes efforts furent récompensés peu de temps après : Carole a joui comme à son habitude, dans le plus grand silence !

  • Hum c’était bon, merci.
  • C’était aussi très agréable pour moi.
  • Tu crois qu’on nous a vus ?
  • Possible, il y a eu du passage.
  • Je reprends une douche ?
  • Tu crois que c’est la peine ?
  • Je ne sais pas, d’après-toi ?
  • Non pas la peine, restes comme ça.
  • Je vais m’habiller tout de même ?
  • Oui !
  • Et je mets quoi ce soir ?
  • La robe blanche qui est dans la penderie.
  • Avec quoi ?
  • Les bottines blanches ?
  • Et ?
  • Le blouson court, en cuir noir.
  • Et ?
  • C’est tout !
  • Je ne mets rien en dessous alors ?
  • Non, c’est gênant ?
  • Non !
  • Quoique…
  • Comment ?
  • Tu pourrais mettre le bijou.
  • Quel bijou ?
  • Celui pour ton cul.
  • Tu l’as amené ?
  • Oui !
  • Je vais voir.
  • Ce serait bien.
  • Je vais voir, je te dis !
  • OK.

Elle s’est enfermée dans la chambre et en est ressortit un quart d’heure après vêtue comme je le lui avais proposé.

A suivre…

Retrouvez les récits d’ADC ici .

Article sponsorisé par Tatiana

 

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