En évoluant dans le milieu du libertinage, on se retrouve parfois dans des situations cocasses (et je ne pense pas aux pratiques sexuelles en disant ça). Ce qui fait naitre des petites anecdotes croustillantes et plutôt drôles (surtout après coup) à se remémorer avec mon homme.

ANEDOCTES DES SOIRÉES PARISIENNES

C’EST TON DERNIER MOT ?

Mieux vaut vérifier par deux fois l’adresse fournie par l’organisateur avant de se rendre à une soirée libertine parisienne. Ca évite de perdre du temps et permet de ménager ses pieds.

A titre d’exemple, entre la rue du Temple, le boulevard du Temple, la rue du Faubourg du Temple, la rue Vieille du Temple, l’erreur est à portée de chaussures à talons. Et ne sous estimez pas l’importance du numéro de rue.

HAUT LES MAINS

Quand la soirée bat son plein, victoire tu ne dois pas crier. Chloé hurle à chaque levrette. Un coup de fil des voisins et la police vient toquer à la porte pour rappeler (plus ou moins gentiment) les règles de tapage nocturne (avec 135 euros d’amende au passage, pour bien marquer le coup). Est-ce que cela arrive très souvent ? Je ne le sais pas. Mais quand ça arrive, ça calme un peu les ardeurs des organisateurs & participants.

MIYAKO SUSHI MENU F12

Tout d’abord n’imagine pas un quelconque racisme. J’ai tendance de trouver des surnoms (surtout quand le prénom m’échappe systématiquement, comme Jean Eudes) voir déformer le nom (Macaron pour Macron).

Le vrai sujet n’était pas tant en réalité cette jeune femme, que l’ami libertin Christophe, qui nous l’a présentée. En couple libertin, il avait la fâcheuse habitude de sortir en soirée libertine, sans que sa moitié ne soit au courant, seul ou avec d’autres femmes (pas forcément libertines).

A chaque fois que nous le croisions (fortuitement ou non), c’était le même refrain avec son air débonnaire : « Vous ne le dites pas à Aurélie, hein ?! » (par souci de confidentialité, le prénom a été changé). C’était pas un mauvais bougre, on se marrait même plutôt bien avec lui et on évitait de trop se mêler de ses histoires.

Miyako était donc une de ses conquêtes / accompagnatrices / copines (je ne saurais dire dans quelle catégorie il les classait à vrai dire). Le soir de notre rencontre, il nous avait comme à l’accoutumée briefé (« pas un mot, chut »).

Et nous voilà, mon homme et moi, en train d’assister à une scène rocambolesque, digne d’une série à l’eau de rose : Christophe tambourinant à la porte des toilettes où Miyako (sa copine secrète du soir) s’était enfermée avec un autre, sans prévenir.

Après que ces deux là se soient expliqués / rabibochés, nous avons fini par nous poser chez nous où nous avons coquiné tous les 4 (précision utile : mon homme et moi n’étions pas encore parents à ce moment là).

Mon homme prit du coup plaisir à coquiner avec toutes les (charmantes) jeunes femmes qui accompagnaient Christophe et parle encore de son tour du monde libertin (Christophe ayant le don de dégoter des filles toujours très différentes de par leurs origines). Enfin, tour du monde si on considère que 3/4 pays représentent le monde entier #exagérationmasculine

TU ME PRETES TA BAIGNOIRE ?

Dans les soirées libertines, la notion d’intimité est toute relative. Même quand, après s’être vautré dans la luxure, on rêve de quelques minutes relaxantes sous une douche bien chaude. Parce que mathématiquement, plus le nombre de participants est élevé, moins la salle de bains est un cocon de solitude et de tranquillité.

Alors oui, je vous le concède, on est plus à ça près, après des orgies pendant lesquelles on a échangé tous les fluides possibles et imaginables. Mais quand même.

Mon plus grand moment de solitude fut lors de cette soirée où je fus rejointe sous la douche par un coquin avec lequel je venais de coquiner (allez, c’est de bonne guerre, douchons nous ensemble).

La propriétaire des lieux et organisatrice de la soirée déboula elle aussi dans la salle de bains et me lança « Tania, tu peux nous laisser la baignoire, on fait un plan uro ». Ok ok.

J’eus à peine le temps de sortir de la baignoire qu’elle fut envahie par 3 ou 4 hommes et une jeune femme. C’était une envie pressante de douche dorée, que voulez-vous.

CHEMISE ROUGE

Ah l’anecdote de la chemise rouge, elle me fait toujours autant rire, même des années après.

C’était un grand moment pour mon homme, qui tout beau dans sa chemise rouge, se faisait subtilement brancher par une libertine.

ll faut dire que, dès qu’elle nous croisait (ce qui arrivait souvent), elle faisait toujours moult efforts pour déployer ses charmes. Malheureusement pour elle, mon homme n’y était pas sensible.

Elle (se rapprochant de mon homme au maximum, espérant presque s’asseoir sur ses genoux) : « Non, tu vois, mais moi ce que j’aime, ce sont les jeunes hommes musclés avec des chemises rouges (accent du sud) ».

Mon homme restait stoïque, son verre de champagne à la main, un sourire figé sur le visage, espérant certainement que je vienne à son secours. Et moi j’observais la scène sans bouger et en me marrant intérieurement.

C’EST QUI ?

Recroiser fortuitement un coquin peut être rigolo. Ce fut sur le quai de la gare TGV de Lille que le coquin s’approcha. J’étais perplexe, cherchant où j’avais bien pu le croiser dans un contexte pro. Ah ah ah… On s’était croisé à une soirée multi couples et hommes seuls quelques jours avant et on avait passé un moment très hot.

Recroiser fortuitement une coquine alors que l’on partage un déjeuner avec des collègues est un peu moins drôle, par contre. Surtout quand les dites collègues sont (très) curieuses de savoir de qui il s’agit exactement. Moi (me remémorant la scène coquine avec la jeune femme et d’autres également) : « C’est une ancienne copine de collège mais on s’entendait pas tant que ça » (pour tenter de justifier ma gêne évidente auprès de mes collègues).

Qui a dit que le libertinage était un long fleuve tranquille ?

 

 

  

 


 

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A titre d’exemple, entre la rue du Temple, le boulevard du Temple, la rue du Faubourg du Temple, la rue Vieille du Temple, l’erreur est à portée de chaussures à talons. Et ne sous estimez pas l’importance du numéro de rue.

HAUT LES MAINS

Quand la soirée bat son plein, victoire tu ne dois pas crier. Un coup de fil des voisins et la police vient toquer à la porte pour rappeler (plus ou moins gentiment) les règles de tapage nocturne (avec 135 euros d’amende au passage, pour bien marquer le coup). Est-ce que cela arrive très souvent ? Je ne le sais pas. Mais quand ça arrive, ça calme un peu les ardeurs des organisateurs & participants.

MIYAKO SUSHI MENU F12

Tout d’abord n’imagine pas un quelconque racisme. J’ai tendance de trouver des surnoms (surtout quand le prénom m’échappe systématiquement, comme Jean Eudes) voir déformer le nom (Macaron pour Macron).

Le vrai sujet n’était pas tant en réalité cette jeune femme, que l’ami libertin Christophe, qui nous l’a présentée. En couple libertin, il avait la fâcheuse habitude de sortir en soirée libertine, sans que sa moitié ne soit au courant, seul ou avec d’autres femmes (pas forcément libertines).

A chaque fois que nous le croisions (fortuitement ou non), c’était le même refrain avec son air débonnaire : « Vous ne le dites pas à Aurélie, hein ?! » (par souci de confidentialité, le prénom a été changé). C’était pas un mauvais bougre, on se marrait même plutôt bien avec lui et on évitait de trop se mêler de ses histoires.

Miyako était donc une de ses conquêtes / accompagnatrices / copines (je ne saurais dire dans quelle catégorie il les classait à vrai dire). Le soir de notre rencontre, il nous avait comme à l’accoutumée briefé (« pas un mot, chut »).

Et nous voilà, mon homme et moi, en train d’assister à une scène rocambolesque, digne d’une série à l’eau de rose : Christophe tambourinant à la porte des toilettes où Miyako (sa copine secrète du soir) s’était enfermée avec un autre, sans prévenir.

Après que ces deux là se soient expliqués / rabibochés, nous avons fini par nous poser chez nous où nous avons coquiné tous les 4 (précision utile : mon homme et moi n’étions pas encore parents à ce moment là).

Mon homme prit du coup plaisir à coquiner avec toutes les (charmantes) jeunes femmes qui accompagnaient Christophe et parle encore de son tour du monde libertin (Christophe ayant le don de dégoter des filles toujours très différentes de par leurs origines). Enfin, tour du monde si on considère que 3/4 pays représentent le monde entier #exagérationmasculine

TU ME PRETES TA BAIGNOIRE ?

Dans les soirées libertines, la notion d’intimité est toute relative. Même quand, après s’être vautré dans la luxure, on rêve de quelques minutes relaxantes sous une douche bien chaude. Parce que mathématiquement, plus le nombre de participants est élevé, moins la salle de bains est un cocon de solitude et de tranquillité.

Alors oui, je vous le concède, on est plus à ça près, après des orgies pendant lesquelles on a échangé tous les fluides possibles et imaginables. Mais quand même.

Mon plus grand moment de solitude fut lors de cette soirée où je fus rejointe sous la douche par un coquin avec lequel je venais de coquiner (allez, c’est de bonne guerre, douchons nous ensemble).

La propriétaire des lieux et organisatrice de la soirée déboula elle aussi dans la salle de bains et me lança « Tania, tu peux nous laisser la baignoire, on fait un plan uro ». Ok ok.

J’eus à peine le temps de sortir de la baignoire qu’elle fut envahie par 3 ou 4 hommes et une jeune femme. C’était une envie pressante de douche dorée, que voulez-vous.

CHEMISE ROUGE

Ah l’anecdote de la chemise rouge, elle me fait toujours autant rire, même des années après.

C’était un grand moment pour mon homme, qui tout beau dans sa chemise rouge, se faisait subtilement brancher par une libertine.

ll faut dire que, dès qu’elle nous croisait (ce qui arrivait souvent), elle faisait toujours moult efforts pour déployer ses charmes. Malheureusement pour elle, mon homme n’y était pas sensible.

Elle (se rapprochant de mon homme au maximum, espérant presque s’asseoir sur ses genoux) : « Non, tu vois, mais moi ce que j’aime, ce sont les jeunes hommes musclés avec des chemises rouges (accent du sud) ».

Mon homme restait stoïque, son verre de champagne à la main, un sourire figé sur le visage, espérant certainement que je vienne à son secours. Et moi j’observais la scène sans bouger et en me marrant intérieurement.

C’EST QUI ?

Recroiser fortuitement un coquin peut être rigolo. Ce fut sur le quai de la gare TGV de Lille que le coquin s’approcha. J’étais perplexe, cherchant où j’avais bien pu le croiser dans un contexte pro. Ah ah ah… On s’était croisé à une soirée multi couples et hommes seuls quelques jours avant et on avait passé un moment très hot.

Recroiser fortuitement une coquine alors que l’on partage un déjeuner avec des collègues est un peu moins drôle, par contre. Surtout quand les dites collègues sont (très) curieuses de savoir de qui il s’agit exactement. Moi (me remémorant la scène coquine avec la jeune femme et d’autres également) : « C’est une ancienne copine de collège mais on s’entendait pas tant que ça » (pour tenter de justifier ma gêne évidente auprès de mes collègues).

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