Histoire coquine :

Quand Roger Nral annona son pouse Martine qu'ils taient invits tous les deux une grande rception en l'honneur de son nouveau PDG, sa rponse fusa :
- Non merci, tu iras tout seul, c'est mortel ce genre de truc.
Roger n'insista pas. Mais un soir, une de ses jeunes collgues prnomme Charlne l'appela chez lui sur son tlphone portable pour voquer cette soire. La conversation, maille d'clats de rire de son mari, dura un peu trop longtemps au got de Martine. Cette Charlne, Roger en parlait souvent, et aussi d'Elodie, et de Clotilde, toutes membres de son service.
- Dis donc, c'est un harem dont tu t'occupes ou quoi ? finit-elle par lcher, un rien agace. Elles ont quel ge, ces nanas ?
- Oh, je ne sais pas exactement, disons entre 25 ans et 35 ans selon les unes et les autres, je ne leur pose pas ce genre de question.
- Ah bon ? Et elles sont sexy ?
- Euh, plutt oui, je suis gt par rapport d'autres services.
- Tiens donc ! Et elles te draguent, je parie. Ton charme de quadra sportif doit bien leur plaire.
- Booof. Elles m'aiment bien, c'est tout, mais je suppose qu'elles ont un mec.
- Tu supposes ou tu en es sr ?
- Oh, a va, ce sont des collgues, rien de plus, tu es jalouse chrie ?
- Non, juste prudente, je ne te connais que trop.

En fait, Martine Nral n'avait aucune raison de s'inquiter car elle satisfaisait son mari sur tous les plans. Mais comme toutes les femmes l'aube de la quarantaine, elle doutait de son physique et de son charme. Ce en quoi elle avait tort. Son opulente chevelure brune, ses seins lourds et bien accrochs, ses fesses larges et charnues, son pubis fourni et ses dchainements au plumard exeraient toujours sur Nral un attrait puissant. Mais elle tait folle de sa queue, une queue longue et paisse, lgrement recourbe en rection. Elle adorait son corps mince, muscl et velu, bref son extrme virilit et jugeait que n'importe quelle femme normalement constitue prouvait la mme attraction.

Toujours est-il qu'aprs cette conversation aigre douce, Martine Nral dcida finalement de se rendre cette soire, la fois pour avoir le coeur net de l'environnement professionnel de son mari et pour marquer troitement son territoire. Elle tait d'autant plus motive qu'elle s'aperut que la Charlne envoyait des SMS Roger et que celui-ci se dpchait de les effacer. Troublant.
******
Le soir venu, Martine Nral hsita longuement sur la tenue adopter. Sexy ? Classique ? Choix dlicat car il s'agissait quand mme de paraitre devant le patron et la patronne. Elle opta finalement pour un compromis. Comme la soire promettait d'tre douce, elle slectionna une robe droite bretelles, de couleur noire lui arrivant mi-cuisses, au dcollet carr et assortie ses yeux, laissant merger une partie d'un profond sillon mammaire. Avec des escarpins, ce sera trs joli, jugea-t-elle.
Quand il la vit, Nral ne put s'empcher d'mettre un sifflement :
- Eh ben dis donc, tu en jettes, chrie, je vais faire des envieux.
Martine sourit. C'tait bien l'objectif, surtout de ct fminin... Mais elle avait une autre arme qu'elle se garda d'annoncer illico son mari.
Sur le chemin de la grande maison bourgeoise avec jardin o devait se drouler la rception, Martine, savourant par avance l'effet de sa dclaration, lcha :
- Chri, tu aimes bien ma robe alors ?
- J'adore !
- Je t'informe que je ne porte pas de slip dessous.
- Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ?
- Oui, tu as trs bien compris. Je n'ai pas de culotte. Juste un soutien-gorge et encore, j'ai hsit.
Nral jeta un oeil effar en direction des cuisses nues de sa femme. La robe courte tait remonte trs haut. De sa position au volant, il ne pouvait pas vrifier. Alors, Martine tira un peu sur le tissu et sa foufoune poilue apparut au grand jour.
- Mais ce n'est pas possible ! Tu vas crer le scandale !
- Meeuuuh non ! Qu'est-ce que tu crois, je sais quand mme serrer les genoux.
- Tu parles ! A un moment, a va forcment se voir. Si encore tu tais pile...
- Ce que tu es vieux jeu. Je parie que tes copines font pareil parfois. Quand il fait chaud, ne pas porter de culotte sous une robe est trs agrable, on se sent are.
- Aration, aration... Moi je dis exhibition. Tu es indcente.
- Tu ne dis pas a quand on bronze poil sur une plage. Surtout quand on est all au Cap. Tu tais bien content qu'on me mate, hein ?
- Pas pareil. Rien voir. Eh merde, on est arriv... Fais gaffe en descendant de la voiture.
*****
Ds lors, Nral devint crisp, pour ne pas dire nerveux. Alors que ses collgues, hommes et femmes, venaient le saluer et rivalisaient d'amabilit envers son pouse, il ne pensait plus qu' cette absence de slip. Fort heureusement, le cocktail imposait de se tenir debout. Martine salua tout le monde, trs souriante devant les hommes, trs froide devant le trio Charlne-Elodie-Clotilde qu'elle jugea d'emble dfavorablement avec leur maquillage ostentatoire, leur tenue ultra lgre et mme, pour le cas de Clotilde, l'absence de soutien-gorge. "Il est vrai que a se verra peine, elle n'a rien mettre dedans" rsuma Martine. Pour elle, ce n'tait que du gibier de promotion canap, format et sans consistance.

Les patrons avaient bien fait les choses. Les tables taient copieusement garnies et Nral commenait se dtendre un peu quand il vit Martine gagner un fauteuil pour converser avec d'autres personnes. Instinctivement, il se plaa derrire celles-ci afin de surveiller un ventuel drapage des membres infrieurs de son pouse. D'autant qu'elle faisait face au directeur adjoint qui, fort heureusement, semblait plus intress par Charlne ses cts. Genoux serrs, Martine conversait avec la femme du patron. Nral alla se chercher boire. Quand il revint, Martine avait les jambes croises. La robe noire tait remonte vraiment trs haut. Le directeur adjoint ne parlait plus Charlne mais Martine, qui dcroisa les jambes pour les croiser dans l'autre sens. Lentement, trs lentement, trop lentement. D'o il tait, plac dans leur dos, Nral ne pouvait voir la tte du directeur adjoint ni celle de Charlne mais il les imagina. Ils avaient vu. Il en tait sr. Un mince sourire fendait la bouche de Martine. Elle se leva avec grce pour remplir son verre et le directeur adjoint suivit son mouvement, le regard trs probablement pos sur le lger louvoiement de son fessier moul par la robe noire. Laquelle ne risquait pas de rvler la couture d'un slip. Nral se rua derrire elle et lui dit entre ses dents, alors qu'elle se servait un verre de vin rouge :
- Tu as vu ce que tu as fait ? Martin (le directeur adjoint) en a pris plein les yeux. Je suis foutu.
- Penses-tu. Je te parie qu'il va m'inviter danser.
- Et Charlne ? Telle que je la connais, elle est dj partie raconter ses copines que Roger Nral est mari une grue.
- Si elle dit a, c'est que c'est une mal baise.

Martine retourna s'asseoir, cette fois sur un autre fauteuil. A peine s'tait-elle installe que le grand patron se mit en face d'elle pour lui tenir conversation. "Les nouvelles vont vite" se dit Nral amrement. D'o il tait, il ne pouvait savoir de quoi ils parlaient et d'ailleurs, il s'en fichait, tant il tait obnubil par les genoux de son pouse, ou plutt ce qu'ils dissimulaient encore. Car ce fauteuil l tait encore plus profond que l'autre et quand Martine croisa nouveau les jambes, Nral cessa de respirer. Cette fois, il s'tait plac de profil et put constater que le patron tait galement en apne. Son visage semblait lgrement congestionn et ses mchoires crispes.

Martine en revanche se montrait trs l'aise et respirait pleins poumons, ce qui gonflait le haut de sa robe et la faisait donc encore remonter tout en accentuant la profondeur de son sillon mammaire... Elle avait pos son mollet droit sur sa cuisse gauche, ngligemment, ouvrant un espace bant que le jour finissant ne pouvait compltement dissimuler. C'tait en tout cas le pronostic pessimiste de Nral.
- Qu'est-ce qui se passe, Roger, tu as l'air tendu ?
Nral sursauta. Charlne tait arriv dans son dos, flanqu d'Elodie. Les deux jeunes femmes arboraient un sourire en coin qui n'augurait rien de bon.
- Moi ? Nnnon, non, a va. Et vous ?
- Oh nous, trs bien. Evidemment, on n'a pas autant de succs que ta belle pouse auprs des patrons mais on ne joue pas dans la mme catgorie. Franchement Roger, quelle chance tu as !
Nral ne savait pas si cette rflexion tait du lard ou du cochon (c'tait le cas de le dire) et se contenta d'un :
- hon hon...
- Ah oui et quelle jolie robe, trs classe. C'est une robe de marque que tu lui as offerte ?
*****
La suite devait confirmer les insinuations de ses collgues fminines. L'heure de la danse tant venue, le patron, son adjoint, les cadres, tout le monde voulait Martine pour partenaire. Celle-ci semblait s'amuser comme une folle. Nral craignait par dessus tout qu'on lui vt les fesses alors qu'elle dansait le rock mais la robe droite, tout en frlant l'incident, demeura sa place. Mais force de penser la chatte de Martine, Nral s'tait mis bander. Une gaule terrible, accentue par les virevoltes de son pouse et ses jeux de sduction manifestes, en particulier au niveau de ses seins, qu'elle mettait littralement sous le nez des grads, lesquels semblaient plonger dans son dcollet.
Il profita d'une accalmie autour d'elle, manifestement provoque par les Charlne, Elodie et autres Clotilde, dsireuses de reprendre les mles en mains (sans parler des pouses des patrons, dont les traits se durcissaient vue d'oeil) pour l'attirer dans un coin par le bras :
- Viens, je vais te montrer les tableaux du patron, une vraie galerie d'art, tu vas tre pate.
Martine le suivit docilement car elle aimait la peinture. Mais Nral la poussa dans une sorte de cellier dont il verrouilla la porte une fois qu'ils furent entrs :
- Qu'est-ce que tu fais ? Ils sont o, tes tableaux ?
- Ils sont o ? Tiens, en voil un !
Et Nral baissa son pantalon pour en faire surgir un norme pnis, surgonfl et survitamin.
- Voil dans quel tat tu m'as mis avec toutes tes simagres et tes jeux de cuisses. Et maintenant, je vais te baiser l, comme une chienne que tu es. Pas la peine d'enlever ta culotte, hein ?
Il glissa sa main entre ses cuisses, rencontra sa vulve, humidifia son doigt et y revint. Martine fit mine de se dbattre, de protester mais elle ne fermait pas les cuisses.
- Arrte, tu vas abmer ma robe. Laisse-moi l'enlever.
Et en un tournemain, elle saisit le bas du tissu, le fit passer par dessus sa tte et apparut un soutien-gorge et en escarpin. Puis elle s'accroupit et goba le gland de Nral, qui soupira fortement. Martine pompait avec ardeur, jouant de la langue autour du gland et du prpuce tandis qu'il lui ptrissait les seins travers le soutien-gorge, qu'il finit par dgrafer. Elle se releva et chercha un point d'appui, qu'elle trouva en la matire d'un tabouret dans un coin. Elle y posa les mains, tendit sa croupe et l'apostropha :
- Maintenant, assume. Enfile-moi.
Nral considra la croupe somptueuse, bien campe sur les escarpins, et le sourire vertical qui s'offrait lui dans la demi pnombre du cellier. Sr qu'il allait l'enfiler, elle ne mritait que a, cette allumeuse. Mais il balana : vaginalement ou annalement ? Il avait trs envie de l'enculer et il savait qu'elle n'aurait pas t contre mais l'exiguit des lieux n'tait pas propice un enculage dans les rgles de l'art. Alors, pantalon sur les chevilles, il la prit classiquement pas les hanches, flchit lgrement les jambes, prit sa queue la main et la dposa avec prcaution dans l'antre brlant.

Martine vint sa rencontre et il se retrouva totalement engag en elle. Il savait qu'il ne durerait pas longtemps car il tait trop excit et au surplus, l'lmentaire prudence ncessitait de ne pas trop s'attarder en ce lieu. En outre, Martine avait gliss une de ses mains entre ses jambes pour chercher ses couilles. Impossible de rsister cette pression. Alors, ce serait un cot bref, mais violent. Il la percuta de toute sa longueur, les peaux claqurent, Martine se mordit la main pour ne pas hurler de plaisir, ses nichons balanant d'avant en arrire. Son chignon s'tait dfait dans l'emballement car elle agitait sa tte comme une jument agace par les mouches. Elle se redressa, se cambra et Nral se sentit aller si profondment en elle qu'il ne put s'empcher de gicler. Un rle touff lui montra qu'elle jouissait. Il la tint fermement par les hanches pour expulser ses dernires gouttes de sperme. Et c'est les jambes lgrement flageolantes qu'il remonta son pantalon tandis que Martine rcuprait son soutif et sa robe.
- Ouffff, soupira-t-elle, c'tait court mais gnial. Quel pied !
- Oui, tu m'as mis le feu avec ton show.
Martine partit d'un petit rire :
- Maintenant, je vais sentir le mle car je ne vais pas demander o est la douche.
Le couple sortit de son rduit avec prcaution et retrouva les invits.
- Mais o tiez-vous donc passs ? demanda la femme du directeur adjoint.
- On est all voir les tableaux, Martine adore la peinture, plaida Nral.
C'tait une erreur car le couple fut aussitt interrog sur le sujet. Mais Martine partit dans des gnralits qui sauvrent les apparences, d'autant qu'elle avait trs soif et rclamait boire. Le directeur adjoint s'empressa pour la servir. Charlne s'tait approche du couple et les considrait d'un oeil souponneux. Elle tournait autour de Martine, comme si elle la reniflait. Soudain, elle lcha entre ses dents :
- La salope ! La saaaaloooope !
Elle courut vers Elodie et Clotilde, lesquelles entourrent leur tour, narines frmissantes, la chre madame Nral :
- Oh la salope ! La saaaalooope ! murmurrent-elles leur tour.
Le flair infaillible des femelles en qute du mle avait dtect la forte odeur du sperme de Nral sur les cuisses de Martine. Laquelle avait videmment compris qu'elles avaient compris. Elle en fut toute rjouie. Son plan avait march au-del de ses esprances. En revanche, les hommes n'avaient rien senti du tout et continuaient de faire du plat la belle brune, au grand dam du trio fminin qui ne dcolrait plus et quitta prmaturment la soire.

Cette fiesta patronale eut des consquences diverses. Primo, Nral dut supporter pendant plusieurs jours des allusions dsobligeantes de ses collgues fminines, relatives son comportement en socit, sans plus de prcision. Il ne reut plus d'appel de Charlne son domicile et encore moins de SMS, ce qui ravit Martine. En revanche, convoqu par le patron, il s'entendit proposer un nouveau poste mieux rmunr aprs lequel il courait depuis deux ans, en vain. Comme si le fait d'tre accompagn "d'une aussi charmante pouse" (expression patronale) avait lev les derniers obstacles. L'impression fut confirme quelques jours plus tard quand les Nral reurent une invitation une garden party chez le grand patron, qui ne concernait que le gratin de l'entreprise. Ledit patron avait crit la main, en bas de l'invitation : "Et surtout, venez en dcontract, vous et votre charmante pouse".

Article sponsorisé par Tatiana

 

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