Quick sex, késako ? On appelle quick sex, ou quickie, une partie de baise qui dure moins de 15 minutes. Mais comme en réalité beaucoup de nos parties de baise durent moins

Quick sex, késako ? On appelle quick sex, ou quickie, une partie de baise qui dure moins de 15 minutes. Mais comme en réalité beaucoup de nos parties de baise durent moins de 15 minutes (et nous paraissent beaucoup plus longues), on utilise surtout ce terme quand on fait l’amour avec empressement (quelle que soit sa durée réelle), souvent pour ne pas se faire repérer ou parce que ce n’est pas le moment. Et c’est cet interdit qui ajoute tout le piment à la partie de sexe !

Le quickie, une façon naturelle d’avoir du sexe ?

Si dans notre société actuelle, une sexualité épanouissante est associée à la maîtrise et à la longueur de l’acte sexuel, cela n’a pas toujours été le cas ! Une éjaculation rapide a longtemps été plébiscitée dans différentes cultures : « dans les pays méditerranéens et d’Afrique du Nord, l’éjaculation rapide est considérée comme une donnée physiologique de base, et on préfère mesurer la virilité au nombre de rapports plutôt qu’à leur durée… que les meilleurs gagnent ! », extrait de Jane Hunt Osez le quick sex, éditions La Musardine. Biologiquement, les quelques allers-retours qui précèdent l’éjaculation pourraient simplement servir à retirer le sperme de la concurrence avant d’y apposer le sien. Quelques minutes à peine suffisent, et c’est comme ça que la sexualité masculine se serait développée.

Mais s’il s’agit de penser au plaisir féminin et non plus à la reproduction, la problématique est tout autre. Selon un sondage Ifop de 2019, un petit tiers des femmes avoueraient avoir rompu avec un homme à cause d’un problème d’éjaculation précoce.

Donc un quickie, c’est oui pour l’excitation et la passion quand c’est soudain, c’est non si ça devient une forme de routine.

L’angoisse de la performance…

Si vous pensiez que tous les hommes raffolaient des quickies avec de belles inconnues, c’est loin d’être une vérité pour tous. Bander rapidement, pénétrer dans des positions aléatoires et parfois très physiques, éjaculer au bon moment… tout cela rajoute une pression qui peut faire perdre tous ses moyens à l’homme. « Elle m’a suivi sans discuter sur le parking, je l’ai renversée à plat ventre sur le capot de ma voiture, elle semblait bien aimer ça. Mais moi, beaucoup moins. Après l’avoir pénétrée sans ménagement, rebelote ! Je débande. » Explique Michel, 38 ans, dans Osez le quick sex.

Quant aux femmes, moins contraintes par sa biologie pour avoir un rapport sexuel, certaines déplorent les petites blessures et coups que l’on peut recevoir, ou tout simplement, la difficulté d’avoir un orgasme en quelques minutes.

Mais ces désagréments sont parfois amplement compensés par l’endorphine, l’adrénaline et la dopamine qui mettent notre cerveau sens dessus dessous. Au risque, de nous faire regretter notre quickie après coup…

Les erreurs à éviter :

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