Mon ami Ted (suite)

Mon ami Ted (suite)

Ted a visiblement apprécié mon savoir-faire et il a envie d'aller plus loin. Sa femme s'étant absentée quelques jours, c'est l'occasion rêvée pour lui faire découvrir d'autres plaisirs ! Il va être servi et moi aussi par la même occasion...

Proposée le 7/01/2020 par sorggulp

 

plan cul rencontres afterwork sexfriends partouze

 Une entrée offerte au prochain afterwork sexfriends ici

 


Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ted ne savait visiblement pas comment amener la discussion sur le sujet qui l’intéressait à savoir notre dernière rencontre.
Au son de sa voix, j’avais parfaitement compris ce qu’il voulait. Je me souvenais avec gourmandise du bon moment que nous avions passé tous les deux à son domicile.
« Sylvie est partie en séminaire pour deux jours! Qu’elle soit là ou pas là, cela ne change rien. Ça te dirait de passer à la maison ? Cela me changerait un peu les idées ! » m’avait-il dit d’un ton faussement enjoué.
J’avais bien sûr accepté son invitation ayant pris soin d’effectuer auparavant une toilette intime minutieuse. J’avais même glissé dans ma poche un petit tube de lubrifiant, on ne savait jamais…
Ted m’accueillait en peignoir.
« Mais bien sûr, c’est un hasard… » pensais-je en franchissant la porte d’entrée.
« Je sors tout juste de la douche » me dit Ted en suivant au salon.
« Qu’est ce qui te fait plaisir ? Une bière, un verre de vin, un peu d’eau ? »
« Un verre de vin, s’il te plait » répondis-je en l’observant discrètement. Les pans de son peignoir laissaient apparaître le haut de ses cuisses. Il était sans aucun doute entièrement nu et avait très certainement une idée derrière la tête.

Tandis que je m’installais confortablement, Ted revenait avec une bouteille et deux verres.
Lorsqu’il s’asseyait en face de moi, les pans du peignoirs s’écartèrent (involontairement ?) me laissant le temps d’apercevoir son entrejambe. Il confirmait ainsi sa nudité.
Ted remit de l’ordre dans sa tenue et remplit les verres de vin. Nous trinquâmes.
« Alors, comment vont tes amours? » lançais-je connaissant déjà la réponse
« Comme d’habitude. RIEN ! » répondit Ted en se calant dans le fauteuil tout en écartant ostensiblement les cuisses. Il était vraiment en manque le bougre !
« A part la branlette, rien, Nada, Wallou » dit-il d’un air faussement dépité.
Soudain, la sonnerie de son téléphone portable retentit.
« Merde ! j’avais oublié ! C’est Sylvie. » dit Ted en prenant l’appareil.
Tout en me faisant signe de ne pas faire de bruit, il répondit à sa femme.
« Bonjour ma chérie, comment vas-tu ? Comment se passe ton séminaire ? » dit-il d’un air faussement joyeux.
J’observais quelques instants la scène silencieusement.
L’occasion était trop belle. Tandis qu’il parlait, je me levais.
Sous le regard médusé de Ted, je me déshabillais entièrement. Ayant pris soin de poser le tube de lubrifiant à portée de main, je m’agenouillais entre ses cuisses en écartant les pans de son peignoir. Il essayait tant bien que mal de suivre la conversation au téléphone tout en me regardant saisir sa queue des deux mains. Il se cala plus profondément dans le fauteuil.
Décalottant lentement l’énorme gland, je passais le doigt autour. La queue grossissait à vue d’œil. Massant les couilles d’une main, je branlais Ted de l’autre, parcourant l’énorme chibre sur toute sa longueur. Ted était vraiment gâté par la nature et sa queue m’attirait par sa taille mais m’effrayait en même temps par celle-ci.

Ted fermait les yeux en répondant de façon évasive à Sylvie.
Je dirigeais sa queue entre mes lèvres. Son gland franchit celles-ci et vint taper directement au fond de ma gorge. Ted grogna de plaisir. Afin d’être plus à l’aise, il mit la conversation sur haut-parleur et posa le téléphone sur l’accoudoir.
« Mais que fais-tu ? Je t’entends mal !» demanda Sylvie d’un ton soudain interrogateur.
« J’ai mis le haut-parleur et je range le salon car c’est un peu le bazar ici ! . » répondit-il en soupirant de nouveau bruyamment.
« Tu vois ce que ça fait quand je ne suis pas là. Ne t’inquiète pas mon chéri, je serais bientôt de retour et tu n’auras plus besoin de ranger la maison ! Donc je te disais, bla bla bla…. » reprit Sylvie tandis que Ted avait posé une main sur ma tête pour mieux sentir sa queue dans ma bouche. Mes lèvres étaient distendues par la taille de son chibre et pourtant il entrait de plus en plus loin.

Je sentais ma gorge s’ouvrir lentement à chaque fois que sa queue frappait à l’entrée de celle-ci. Soudain, je la sentis coulisser plus loin que les fois précédentes. Ma gorge avait capitulé, laissant passer le gland et le reste du chibre. Mes lèvres touchèrent son bas-ventre. Je me retirais précipitamment sous l’effet de surprise craignant d’étouffer avec un tel engin dans la bouche. Mais quelle sensation !
Je renouvelais plusieurs fois l’opération constatant avec surprise que j’arrivais de plus en plus facilement à « avaler » entièrement la bite de Ted tout en prenant un maximum de plaisir. Cela semblai être aussi son cas car il grognait de plaisir ce qui ne manquait pas d’intriguer Sylvie.
« Mais pourquoi râle-tu quand je te parle ? »
« Ne t’inquiète pas ma chérie, j’ai dû attraper une saloperie ce matin et j’ai la gorge un peu encombrée. »
Tout en m’activant sur sa queue, j’attrapais discrètement le petit flacon de lubrifiant et glissais un doigt lubrifié entre mes fesses rapidement suivi d’un deuxième. Je me doigtais quelques instants afin de bien lubrifier le passage. Vu la taille de l’engin, c’était indispensable !
Il fallait que l’effet de surprise soit total.
Ted écoutait les palabres de sa femme les yeux fermés, les cuisses largement écartées sur son fauteuil.
Je me redressais subitement sans laisser le temps à Ted de réagir.
Tenant sa queue d’une main, je me plaçais à califourchon dos à lui. Ted tenta de se soustraire en remuant le bassin de gauche à droite.
Je me laissais tomber sur sa queue tout en étouffant un cri de douleur. Le fauteuil glissait en arrière tandis que le téléphone finissait au sol . Je restais quelque secondes empalé sur la bite de Ted qui se contorsionnait pour récupérer le téléphone.
« Mais tu déménages toute la maison ou quoi ? » demandais Sylvie d’une voix nasillarde.
« Non, tout va bien. C’est juste le téléphone qui est tombé» répondit Ted d’un ton essoufflé.
Prenant appui sur les accoudoirs, j’écartais largement les cuisses. Je sentais la chaleur de sa queue se propager et se transformer petit à petit en ondes de plaisir. Ted ne cachait pas non plus le sien en soufflant fort dans mon dos.
« Dis-moi mon chéri, je ne te manque pas trop ? » demandait Sylvie
« Oh que si ! Tu ne peux même pas imaginer à quel point » répondit Ted en se redressant tout en me besognant de plus belle. Il me plaqua contre la table de la salle à manger. Je me laissais tomber sur celle-ci, les jambes bien écartées. Ted avait reprit son téléphone en main, s’étant débarrassé de son peignoir auparavant. Me tenant de sa main libre par une hanche, il me pénétrait de plus en plus fort. J’écartais encore plus les jambes pour mieux sentir sa queue.
« Je vais te laisser ma chérie car je dois faire les courses. A bientôt. Je t’embrasse » dit-il d’un trait afin de ne pas trahir son activité.
« A bientôt mon chéri. Je t’embrasse aussi. J’espère que tu ne t’ennuies pas trop tout de même »

Sa main glissa sur ma queue tandis qu’il me pilonnait littéralement. Il me branla ainsi un bon moment en poussant des grognements sourds. La table se déplaçait petit à petit vers le mur à chaque coup de boutoir. Je pouvais observer la scène dans le miroir fixé sur le côté. Ted grimaçait sous l’effort. Il transpirait abondamment. Ne tenant plus longtemps, je jouissais maculant le sol de semence. Ted soufflait comme un animal sauvage en accélérant la cadence. Son ventre claquait contre mes fesses.
Il me prit les hanches des deux mains pour mieux me pénétrer. Plaqué contre mes fesses, il poussa un râle plus long que les autres. Sa queue plantée en moi, il éjacula longuement en marmonnant des propos incompréhensibles. Je sentais la chaleur de sa jouissance se répandre dans mes entrailles. Ted reprit les vas et vient de façon incontrôlée en poussant des râles de plaisir. Vu le pied qu’il prenait, il était évident qu’il n’avait pas baisé depuis un bon bout de temps.

Ted se retira me laissant complètement groggy vautré sur la table, les cuisses écartées. Un long filet de sperme s’écoulait le long de ma cuisse.
« Purée, ce que ça fait du bien ! » dit-il en se laissant tomber dans le fauteuil.
Décidément, notre relation prenait un drôle de tour !


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)
Fermer définitivementL'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement.Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

  

 


 

Inscrivez-vous gratuitement
 
 Rejoignez la communauté des inscrits
 

 

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


 

plan cul rencontres afterwork sexfriends partouze

 Une entrée offerte au prochain afterwork sexfriends ici

 


Le blé en herbe, suite
Plaisir d'exhibition (suite)
Folies en folio (Suite et fin)
Alicia et Jennifer (suite)
La découverte du sexe, suite